Rien ne sera plus jamais comme avant


Les choses ne reviendront pas à la normale. Pas plus demain, que jamais.

Si vous aspirez aux jours qui ont précédé le balayage de la planète par le corona, j’ai le regret de vous informer que cette époque est révolue.

Ce n’est pas un article particulièrement rassurant qui dit que tout va bien se passer. Si vous cherchez quelque assurance dans ce sens, je crains de ne pouvoir vous la fournir.

Il n’a pas été écrit pour vous consoler, ou vous dorloter. Si c’est ce que vous attendez, vous feriez mieux d’arrêter de lire tout de suite et d’aller voir ailleurs…

Si, par contre, vous voulez avoir un aperçu de la réalité à laquelle je crois que nous sommes confrontés, soyez sûr qu’une fois encore, je ne vais pas me retenir.

Nous ne sommes même pas à mi-parcours

Vous avez peut-être vu récemment des rapports optimistes selon lesquels le « pire » était derrière nous. Ce serait certainement bien si c’était le cas, mais à mon avis, cette épreuve ne fait que commencer.

Sur le plan purement logistique : le confinement de Wuhan devrait encore durer deux mois. Si notre propre calendrier continue à faire écho à celui de la Chine, alors nous ne sommes même pas à mi-chemin. Il nous reste au moins deux mois, et cela n’inclut pas d’éventuels nouveaux foyers lorsque les blocages seront totalement levés, ou de nouvelles vagues. Nous avons à peine commencé à vivre notre purgatoire, et cela va continuer (et très probablement s’aggraver) pendant un certain temps. Et même si la situation devait s’arranger de façon naturelle (par extinction du virus ou autre), soyez sûr que « ils » feront tout pour qu’elle empire, vu qu’elle sert le plan de façon providentielle.

Donc si vous considérez ce confinement comme une petite pause après laquelle vous reprendrez votre vie exactement là où vous l’avez laissée, vous allez être extrêmement déçu. Vous devez vous adapter maintenant, car si vous ne le faites pas, votre avenir sera très dur à vivre sur le plan mental.

Certains survivalistes se demandaient ce que ça ferait que d’être enfermé dans un abri ou un appartement en cas de chaos ; vous en avez à présent une idée. Si vous trouvez cette séquestration à domicile d’ores et déjà intolérable, alors vous n’avez aucune chance de survivre à ce qui nous attend. Vous feriez mieux de méditer ce point.

Profitez de cette période pour réfléchir aux changements que vous pouvez apporter de manière à répondre à vos besoins primordiaux en cas de clash véritable, et à ceux de votre famille le cas échéant. Apprenez de nouvelles compétences, pratiquez les anciennes, et mettez-vous au travail.

Les chaînes d’approvisionnement peuvent ne jamais revenir à la normale

Presque tous nos magasins (du moins, ceux qui sont encore ouverts) ont des rayonnages entièrement vides. Qui aurait cru que les produits à base de papier seraient « l’or » de notre apocalypse ? Il y a eu la première ruée début mars, lorsque le grand public a réalisé que c’était « pour de vrai » et a dévalisé les rayons. Même si les survivalistes avaient déjà stocké la plupart de leurs fournitures au moment où cela s’est produit, nous n’avons pas été moins vilipendés par les médias lorsque des acheteurs paniqués en sont venus aux mains pour cause de papier toilette et de macaronis.

Les responsables gouvernementaux ont dit à tout le monde de se calmer et de faire les courses pour la semaine. Ils ont promis que si nous le faisions, tout serait de nouveau disponible en un rien de temps. À l’époque, beaucoup d’entre nous savaient déjà que ce n’était pas vrai. Les ports étaient vides de conteneurs en provenance de Chine, où sont fabriqués nombre de nos biens essentiels. La vérité toute simple est qu’il n’y a pas assez de stocks pour réapprovisionner tous les rayons.

Plus d’un mois s’est écoulé depuis cette première frénésie d’achats et malheureusement, les produits manquent dans la majorité du pays. On ne peut plus trouver un paquet de papier toilette de taille raisonnable ; on ne trouve pas non plus facilement des lingettes nettoyantes, des serviettes en papier, des sacs de riz, ou des bouteilles d’eau de javel. D’autres denrées sont disponibles, mais de manière plus rare et souvent en quantité limitée : viande, œufs, beurre, produits secs comme les pâtes et le riz, et produits en conserve. Les prix ont à peu près doublé pour de nombreux articles.

Ne vous attendez pas à ce que la situation s’éclaircisse de sitôt. Les stocks abondants pourraient bien être une chose du passé. Une grande partie des produits vendus dans les magasins sont fabriqués en Chine. Il est évident qu’elle va reconstituer ses propres réserves avant de reprendre ses exportations. En espérant qu’elle ne subisse pas un retour d’épidémie qui bloque à nouveau ses chaînes de production.

L’époque où il suffisait de se rendre au supermarché pour remplacer certaines choses ou prendre un seul ingrédient est révolue. Aujourd’hui, dans tout le pays, il faut traverser un labyrinthe cloisonné pour entrer dans un Carrefour ou un Hyper-U, et attendre parfois pendant des heures. Faire ses courses signifie que vous risquez votre propre santé, ou, si vous êtes malade et que vous ne vous en rendez pas compte, que vous risquez la santé des autres. Ce n’est plus aussi rapide, facile, peu coûteux ou agréable de quelque façon que ce soit.

Autre possibilité, le magasin peut avoir des articles que vous désirez, mais comme le gouvernement et ses sbires ne les considèrent pas comme « essentiels », vous n’aurez pas la possibilité de les acheter sans risquer une amende à la sortie. L’achat en ligne pourrait bientôt être votre seule option pour des articles tels que les vêtements, articles de la maison, chaussures et autres. Et même lorsque vous commandez en ligne, il peut s’écouler un certain temps avant que les marchandises arrivent, si elles vous arrivent. Le géant Amazon a déclaré qu’il donnait la priorité aux produits de première nécessité, par décision du tribunal administratif, ce qui va forcément augmenter les délais de livraison.

Et cela pourrait être encore pire. Que se passera-t-il si les services postaux cessaient de fonctionner ? Si vous pensez qu’il est difficile de vous approvisionner maintenant, attendez donc de voir la suite.

Les règles deviendront plus restrictives, et la violence s’ensuivra.

Certaines communes sont aujourd’hui plus permissives que d’autres, mais ne vous attendez pas à ce qu’un tel « laxisme » se poursuive. Même si je ne pense pas que nous irons jusqu’au point de « souder » les gens dans leurs appartements, comme ils ont fait à Wuhan, nos droits constitutionnels sont déjà bafoués de la pire des façons.

Il faut s’attendre à ce que les règles et les contrôles deviennent de plus en plus stricts, et que les gens rechignent. Au fur et à mesure que l’argent versé par le Gouvernement s’épuisera et que les promesses ne seront pas tenues, ils seront de plus en plus désespérés.

Imaginez un peu. Votre capacité à gagner votre vie vous a soudainement été retirée sans que vous n’y soyez pour rien. On vous séquestre à domicile. Votre gouvernement vous menace d’amendes, d’incarcération et même de violences éventuelles. Votre famille a faim et vous n’avez rien pour la nourrir. Que feriez-vous dans une telle situation ?

Il est pratiquement impossible qu’une telle situation perdure sans que la violence s’ensuive, soit par rébellion, soit par faim, voire les deux. Ou encore par opportunisme du côté des malfaisants. L’augmentation du RSA et la libération de 10.000 détenus en échange de la « paix » dans les banlieues ne sont que des soins palliatifs. De moins en moins de policiers risquent d’être disponibles pour intervenir. Tout cela mis bout à bout, c’est la recette idéale pour les crimes violents.

L’économie va être dévastée

Nous voyons actuellement notre économie se détruire sous nos yeux. Jamais dans l’histoire autant de travailleurs se sont retrouvés au chômage. Et le fait qu’ils soient tous devenus chômeurs en même temps est encore pire. À ce jour, leur nombre en France atteint les 9 millions !.

Parmi toutes les personnes qui ont perdu leur emploi, beaucoup sont celles qui ont le moins de moyens de se le permettre – notamment les saisonniers, ou les gens en CDD. Ceux qui travaillent au salaire minimum ou guère plus ont moins de chances d’avoir un compte épargne pour les aider à traverser la période creuse.

Et bien sûr, les questions économiques sont plus importantes que cela. Les petites et moyennes entreprises ont de gros problèmes. Celles qui ne parviennent pas à trouver un moyen de fonctionner en ces temps difficiles ont malgré tout des frais généraux et des factures à payer. Elles ont un loyer et des charges fixes. Beaucoup ont des traites à 30 jours net à honorer. Les restaurants qui ne peuvent pas fournir de plats à emporter ou en livraisons, les salons de coiffure, salles de sport, magasins de vêtements et bien d’autres commerces indépendants risquent de ne jamais rouvrir après l’interruption imposée par le Gouvernement.

Une par une, les familles voient leurs revenus disparaître, les prix augmenter et, avec la séquestration forcée, il n’y a pas vraiment de moyen de chercher un nouvel emploi. Les allocations chômage, pour ceux qui y ont droit, ne sont qu’une solution à court terme. S’il y avait une chance de mettre en place un revenu universel et de voir les gens l’accueillir à bras ouverts, cette crise sera la bonne. Bien sûr, un tel revenu entraîne de nombreux problèmes, dont le moindre n’est pas la mise en place d’une relation maître-esclave, en même temps qu’il offre une pente glissante vers le système national de réputation des citoyens (crédit social), également apporté par la Chine avec le corona.

Pour l’instant, nous envisageons des effets à court terme, mais nous ressentirons les effets de cette situation pendant très longtemps. En fait, il est probable que l’économie en sera changée pour toujours.

Alors que l’économie continue de s’effondrer parce que les gens n’achètent que le strict nécessaire, d’autres problèmes vont se poser. Comment allez-vous payer votre loyer ou votre hypothèque si vos qualifications professionnelles se situent dans un domaine qui est maintenant considéré comme un luxe ? Comment allez-vous payer vos factures d’eau et d’électricité si vous ne gagnez pas d’argent ? Comment allez-vous nourrir votre famille, garder un toit au-dessus de votre tête, payer les soins médicaux et entretenir un véhicule ?

Si vous êtes propriétaire d’une entreprise, comment allez-vous continuer à fonctionner si vous n’avez pas de fonds de roulement ? Comment pourrez-vous embaucher des personnes si vous ne savez pas si vous serez en mesure de les garder plus de deux mois ? Comment pourrez-vous acheter plus de stocks et même continuer à en acquérir ? Serez-vous en mesure d’obtenir les pièces détachées nécessaires si vous gérez une entreprise de service de réparation ?

Comme vous pouvez le constater, il y a plus de questions que de réponses.

Nous ne sommes qu’en début de parcours, et il n’y a pas vraiment d’endroit où il mène si ce n’est à une dépression économique pire encore que celle du siècle dernier.

Nous ne pourrons jamais revenir à la « normale »

Pour tous les gens qui se demandent quand nous allons revenir à la normale, je suis désolé de le dire, mais la réponse est « JAMAIS ».

Il y a des emplois perdus qui ne reviendront pas. Des entreprises autrefois prospères ne rouvriront peut-être jamais, et si elles le font, à moins de pouvoir s’adapter pour répondre aux besoins, elles ne dureront pas longtemps dans une économie où le chômage est généralisé.

Et sur le plan médical, nous sommes également loin de la normale. Les « spécialistes » s’accordent à dire que le virus va revenir, et que le monde, lui, ne pourra jamais revenir à la normale dans la mesure où le virus est là. Sans doute que même si le corona avait la bonne idée de partir de lui-même, on irait le chercher pour qu’il revienne. L’occasion est assurément trop belle pour imposer un vaccin, entre autre, et de nouvelles mesures qui finiront de mettre à plat les derniers récalcitrants.

D’ores et déjà, on nous dit qu’il faut nous préparer à un nouvel assaut à la rentrée, ou l’année prochaine. Raison pour laquelle les officiels poussent pour un vaccin et autres essais cliniques. Jusque là, ce sera la « distanciation sociale » à outrance, du style deux mois « on » et un mois « off », pendant des mois et des mois s’il le faut, jusqu’à ce que le peuple épuisé finisse par accepter n’importe quelle piquouse empoisonnée. Une armée de drones est déjà prévue pour surveiller le troupeau. Les amateurs de ball-trap auront bientôt de quoi pratiquer en live.

Il ne s’agit pas d’une perturbation temporaire. C’est le début d’un mode de vie complètement différent.

Dans un avenir prévisible, il semble que ce soit notre vie.

À quoi ressemblera l’avenir ?

À ce stade, il est assez difficile d’imaginer à quoi ressemblera un avenir rempli de vagues d’un virus pandémique, d’une économie dévastée, et de pertes massives.

Mais nous pouvons certainement nous attendre à des périodes intermittentes de distanciation sociale, parsemées de brefs moments d’interaction ; le temps nécessaire jusqu’à ce que toutes les volontés soient brisées. Les entreprises comme les restaurants, les cinémas, les bars, commerces de quartier, agences de tourisme et autres salles de sport ne seront plus jamais les mêmes et, si elles survivent, ne pourront fonctionner que de manière occasionnelle. L’accent sera mis sur le travail à domicile dans les secteurs où cela est possible. Votre capacité, en tant qu’entreprise ou employé, à évoluer dans cette direction fera la différence entre le fait d’avoir un revenu ou non, à moins que vous ne travailliez dans un type d’activité ou de commerce essentiel.

La scolarisation à domicile deviendra une activité à long terme, les enfants ne pouvant bénéficier d’un cadre scolaire normal pendant les épidémies.

Nous allons nous retrouver dans un monde complètement différent, où les distances d’1 mètre, les passeports d’immunité et méthodes de suivi dystopique par téléphone seront probablement devenus monnaie courante.

On ne peut savoir à quoi va ressembler ce nouvel avenir, bien sûr. Mais on peut imaginer un monde dans lequel, pour prendre un vol, il faudra peut-être être inscrit à un service qui suit vos déplacements via votre téléphone. La compagnie aérienne ne serait pas en mesure de voir où vous êtes allé, mais elle recevrait une alerte si vous êtes passé à proximité de personnes infectées ou de points chauds connus.

Les mêmes exigences pourraient s’appliquer à l’entrée des salles de spectacles, des bâtiments gouvernementaux, et des halls de gare. Il y aurait des scanners de température partout, et votre lieu de travail pourrait exiger que vous portiez un moniteur qui surveille votre température ou d’autres signes vitaux. Les établissements de nuit et autres assimilés qui demandent une preuve d’âge pourraient à l’avenir exiger aussi une preuve d’immunité – une carte d’identité ou une sorte de vérification numérique via votre téléphone, montrant que vous êtes immunisé ou que vous avez été vacciné contre les dernières souches de virus.

Les gens s’adapteront à de telles mesures et les accepteront, tout comme ils se sont adaptés à tous les contrôles de sécurité de plus en plus stricts mis en place à la suite des attaques terroristes. La surveillance intrusive sera considérée comme un petit prix à payer pour la liberté fondamentale d’être avec d’autres personnes.

Comme d’habitude, cependant, le coût réel sera supporté par les plus pauvres et les plus faibles. Les personnes qui ont moins accès aux soins de santé ou qui vivent dans des zones plus exposées aux maladies seront désormais plus fréquemment exclues des lieux et des possibilités ouverts à tous. Les travailleurs itinérants – des chauffeurs aux plombiers en passant par les indépendants, saisonniers, temporaires et assimilés – verront leur emploi devenir encore plus précaire.

Ne jamais laisser une bonne crise se perdre, n’est-ce pas ?

Ce n’est pas nécessairement ainsi que tout va se passer – ce n’est qu’un des scénarios possibles parmi les nombreux futurs désagréables qui se dessinent actuellement. Mais aucun d’entre eux n’est un scénario qui respire la liberté, ou la joie de l’anonymat.

La vie que nous connaissions ne reviendra pas. Autant se le dire et commencer à réfléchir à la manière d’atténuer les effets de ces changements. Pensez à la manière dont vous pouvez gagner votre vie, à celle dont vous pouvez enseigner la liberté à vos enfants dans un monde qui en est privé, et à résister contre le fait d’être une image colorisée sur un écran, constamment surveillé pour détecter une hausse de température.

Et qui sait ? Peut-être que le peuple de France retrouvera son esprit de fronde légendaire et se lèvera comme un seul homme en criant : « C’est fini ! » ? Mais les changements qui ont suivi le 11 septembre et les attentats terroristes terroristes sur notre sol laissent penser le contraire. À moins qu’une population apeurée puisse être convaincue que la liberté est plus importante que la sécurité, cela conduira à davantage de restrictions et à une sorte de Patriot Act 2.0 planétaire version pandémie.

Je ne peux pas vous dire exactement ce que l’avenir nous réserve. Ce que je peux vous dire, par contre, c’est que la vie que nous avons vécue avant ne va pas reprendre comme si rien ne s’était passé. Jour après jour, la séquestration au domicile réduit encore plus cette possibilité.

Vous devez l’accepter maintenant pour pouvoir mieux comprendre comment naviguer dans le monde post-COVID qui nous attend. Cela ne signifie pas que vous ne pourrez plus jamais être heureux. Cela ne veut pas dire que vous perdrez tout. Cela signifie que les choses vont être différentes et qu’à un moment donné, vous devrez faire un choix.

Ce choix sera celui de toute une vie, et, probablement, de votre éternité.

Celui dont Saint-Jean nous parle dans son Apocalypse. Il reviendra à chacun de nous, en son âme et conscience, d’accepter ou de refuser, avec toutes les conséquences qu’une telle décision implique.

Il y a deux mille ans de cela, un homme extraordinaire a prédit les temps de la fin. Des temps de grandes tribulations, dont personne, hier encore, n’aurait imaginé qu’ils nous étaient destinés…

Lire aussi : Déconfinement : après le 11 mai, « ce ne sera pas exactement la vie d’avant », prévient Philippe

Source : Survivre au Chaos par Pierre Templar


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2 réponses

  1. jules dit :

    Go s’organiser politiquement au lieu de chouiner des fatras pseudo religieux copain…

  2. Jose dit :

    Bonjour,
    Oui, vous avez raison sur cet homme extraordinaire et qu’ils n’ont pas voulu reconnaître puisqu’ils l’ont tué.
    Mais il fallait que cela se passe ainsi afin que toute chose se déroule selon le dessein de celui qui le révéla et qui nous l’envoya.
    Nous le reconnaitrons au moment venu et sachez qu’il ne se cache pas et qu’il ne prend pas plaisir à voir toutes ces choses.
    Mais l’homme extraordinaire qu’il nous a envoyé nous a fait comprendre qu’il faut que toutes ces choses arrivent afin que son dessein se réalise.
    Et si vous vous sentez coupable ou non, soyez assuré qu’il sera plus heureux de voir quelqu’un qui faisait le mal ne plus le faire que l’inverse.
    Car celui qui faisait le bien et n’a pas tenu bon sera jugé sur ce qu’il s’est révélé être en connaissance de cause.
    Alors, essayons de nous révéler selon notre condition de coeur et adoptons le bon ou le mauvais choix.
    Il ne tient qu’à nous d’être ce que nous voulons être et non ce que les autres voudraient que nous soyons.

    Jose

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