Une enseignante dit à une élève qu’elle n’a pas le droit d’avoir une opinion parce qu’elle est « blanche » et « blonde »
La grand-mère confronte l’enseignante pour lavage de cerveau.
Un clip vidéo montre une grand-mère confrontant une enseignante au téléphone sur la façon dont elle a dit à un élève qu’elle n’avait pas le droit d’avoir une opinion parce qu’elle était « blanche » et « blonde ».
La vidéo commence par la grand-mère qui explique à l’enseignante que sa petite-fille pleure et n’est pas allée à l’école à cause de cette « merde BLM ».
Elle accuse ensuite l’enseignante de dire à sa petite-fille qu’elle n’a pas le droit d’exprimer son opinion sur la question parce qu’elle est britannique, blanche et blonde.
Après avoir appris qu’il y avait un enregistrement audio de l’échange, l’enseignante répond : « Eh bien, je ne m’en souviens pas, peut-être. »
L’enseignante accuse alors la petite-fille Kelsey d’avoir le privilège d’être blanche et de dire qu’elle n’a pas « vécu » ce que l’autre fille impliquée dans la discussion (qui était manifestement noire) avait vécu.
Il s’avère par la suite que Kelsey a refusé d’honorer Black Lives Matter et que l’enseigannte a immédiatement pris le parti de l’élève noire car « Kelsey n’est pas en mesure de savoir ce que ressentent les filles noires ».
La petite-fille accuse l’enseignante d’être raciste à la fin de l’appel.
« Si cette enseignante avait dit à une élève noire que son opinion n’avait pas d’importance parce qu’elle est noire, elle aurait été renvoyée de son travail, aurait été accusée de crime haineux et l’histoire aurait fait la une des journaux internationaux », écrit Chris Menahan.
Cela nous rappelle une fois de plus que la rhétorique extrémiste de BLM ne s’est pas seulement emparée de pratiquement toutes les institutions et industries culturelles existantes, elle a aussi empoisonné les écoles.
Tout ce qui fait obstacle à l’endoctrinement est apparemment une mauvaise chose.
