Hillary Clinton est « malade de peur » à cause de ce qu’on vient de trouver sur les murs du manoir pédophile d’Epstein


Hillary Clinton a été laissée en état de choc jeudi après la publication d’un rapport inquiétant détaillant les éléments “écœurants” découverts par le FBI dans le manoir pédophile de Jeffrey Epstein.

Selon les archives obtenues par le Daily Mail, entre 1993 et 1995, Epstein s’est rendu au moins 17 fois à la Maison Blanche du Président Bill Clinton, amenant avec lui un total de huit filles victimes de trafic sexuel.

Le patron du réseau pédophile avait des liens avec de nombreux hommes politiques puissants, des hommes d’affaires, des membres de la famille royale et des célébrités. Nombre d’entre eux, dont Bill Clinton, figuraient dans le petit carnet noir des violeurs d’enfants d’Epstein.

Dans son rapport sur les innombrables visites d’Epstein à la Maison Blanche des Clinton, le Daily Mail a noté que sur les murs de la demeure d’Epstein à Palm Beach, en Floride, étaient accrochées des preuves de ces visites et des photos de certaines des victimes qu’il avait amenées avec lui.

Westernjournal.com rapporte : En plus de la partenaire de longue date d’Epstein, Ghislaine Maxwell, les noms des sept autres femmes qui l’ont accompagné à la Maison Blanche de Clinton sont énumérés dans le rapport.

Maxwell a récemment été condamnée pour plusieurs crimes liés à sa complicité dans les crimes de trafic sexuel d’Epstein.

Selon le Daily Mail, trois des femmes citées sont d’anciennes petites amies d’Epstein : Celina Midelfart, Eva Andersson-Dubin et Francis Jardine.

Les autres femmes figurant sur les photos sont Jennifer Garrison, Shelley Gafni, Jennifer Driver et Lyoubov Orlova.

Alors que les nouvelles concernant Bill Clinton continuent de se développer, on peut imaginer Hillary se crisper de frustration et se dire : “Pas encore !”

Après tout, son mari a été accusé d’avoir agressé et harcelé sexuellement plusieurs femmes au fil des ans, et il a été mis en accusation pour avoir menti sur sa relation sexuelle avec une stagiaire de la Maison Blanche.

On ignore combien d’autres personnalités ont été impliquées dans les crimes d’Epstein.

Le prince Andrew de Grande-Bretagne fait l’objet d’un procès pour avoir agressé sexuellement l’une des victimes d’Epstein lorsqu’elle avait 17 ans.

Andrew a nié tout acte répréhensible, mais la reine Elizabeth II a choisi de le dépouiller de ses titres royaux jeudi.

D’autres personnalités politiques de premier plan – d’anciens présidents américains, par exemple – feront-elles l’objet de procédures judiciaires similaires liées à leurs relations avec Jeffrey Epstein ?

Seul l’avenir nous le dira.


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