Kamala Harris déclarée la vice-présidente la plus impopulaire de l’histoire des États-Unis


Le plan des démocrates pour installer Kamala Harris comme présidente est en plein désarroi après que de nouveaux sondages révèlent que Harris est la vice-présidente la plus impopulaire de l’histoire des États-Unis.

Selon les rapports, les personnes âgées de 18 à 29 ans, le groupe démographique dont l’extrême-gauche aime profiter, n’ont donné à Harris qu’un taux d’approbation de 36 %, avec 41 % de désapprobation.

Selon le Telegraph :

Les stratèges démocrates, alarmés, sont aux prises avec les chiffres des sondages qui montrent que la vice-présidente est désormais “sous l’eau”, ce qui signifie que les Américains sont plus nombreux à désapprouver qu’à approuver ses performances professionnelles.

La Maison Blanche a l’intention de la déployer uniquement dans certaines régions pour faire campagne en vue des élections de mi-mandat au Congrès de l’année prochaine, et tentera d’améliorer son profil en l’envoyant en voyage à l’étranger dans les mois à venir.

Les premiers mois décevants de son mandat ont également inquiété les stratèges à long terme, dont beaucoup avaient espéré qu’elle se présenterait à la présidence dès les prochaines élections.

Deux récents sondages ont montré que 46 % des Américains approuvent Mme Harris, tandis que 47 % et 48 % la désapprouvent.

L’un des éléments les plus préoccupants pour la Maison Blanche est l’impopularité de Mme Harris auprès des jeunes.

Un sondage Economist/YouGov a révélé que 41 % des électeurs âgés de 18 à 29 ans avaient une opinion “défavorable” de Mme Harris, et que 36 % seulement l’estimaient “favorable”. Mme Harris a également des difficultés avec les électeurs hispaniques, peut-être en raison de son rôle dans la politique frontalière américaine.

Sur les 48 % des personnes interrogées dans le sondage Economist/YouGov qui ont une opinion “défavorable” de la vice-présidente, la grande majorité [40 %] a déclaré qu’elle était “très défavorable”. Mme Harris a aliéné certains électeurs hispaniques en disant aux personnes originaires d’Amérique centrale “Ne venez pas” aux États-Unis, tout en exaspérant les conservateurs et certains indépendants en prenant plusieurs semaines pour se rendre physiquement à la frontière.

Une performance médiocre lors d’une interview télévisée très médiatisée avec NBC en juin a laissé les assistants de la Maison Blanche dans l’embarras, et de nombreux rapports font état de dysfonctionnements dans son bureau.

Selon Gallup, 42,1 % des personnes interrogées ont approuvé la performance de M. Pence à ce moment-là, et 41,9 % l’ont désapprouvée.

Le précédent vice-président – M. Biden – avait un taux d’approbation supérieur à 50 % après six mois. Avant cela, Dick Cheney, et Al Gore, se situaient dans les 60 % au même stade.

Même Dan Quayle, le vice-président de George H.W. Bush, dont on s’est beaucoup moqué, n’était nulle part sous l’eau [sic] après six mois.

Il avait une cote d’approbation de 43 %, et de désapprobation de seulement 22 %, avec 34 % d’indécis.

Il semble que Kamala ait dit aux Hispaniques “ne venez pas ici”, ce qui est l’une de ses principales gaffes :


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