L’argent de Soros pousse les Big Tech à censurer la « désinformation » avant les élections de mi-mandat


Le milliardaire d’extrême gauche George Soros paie des dizaines de millions de dollars aux géants de la technologie pour purger l’internet des médias indépendants avant les élections de mi-mandat de novembre prochain.

Selon un nouveau rapport de Newsbusters, Soros a versé au moins 30 millions de dollars aux géants de la technologie pour qu’ils “renforcent leur censure” contre les médias non traditionnels.

Wnd.com rapporte : La Leadership Conference on Civil and Human Rights (LCCHR), financée par Soros, a été à l’origine d’une lettre ouverte signée le 13 octobre par 11 autres groupes libéraux, qui demandaient à Big Tech de “[prendre] des mesures immédiates pour freiner la diffusion de la désinformation électorale lors des élections de mi-mandat et des élections futures et pour aider à prévenir l’affaiblissement de notre démocratie”, explique le rapport.

La lettre se plaint de la “désinformation en ligne” qui bombarde les électeurs dans le but “de les confondre, de les intimider et de les harceler”.

La lettre a été envoyée à Mark Zuckerberg de Facebook, à Sundar Pichai de Google, à Parag Agrawal de Twitter et à d’autres personnes de YouTube, TikTok, Snap et Instagram.

Récemment, Mark Zuckerberg a admis lors d’une interview avec le podcasteur Joe Rogan qu’il avait fait l’objet de pressions de la part du FBI en 2020 pour supprimer des informations exactes mais dommageables sur la famille Biden, sous prétexte qu’il s’agissait de “désinformation”. Le PDG de Facebook a effectivement supprimé les informations négatives sur la famille Biden.

Comme l’a souligné le fondateur du Media Research Center, Brent Bozell, “Soros a dépensé 30 millions de dollars pour des groupes qui tentent d’amener Big Tech à censurer les conservateurs avant les élections de mi-mandat”.

La lettre exige même que des mesures soient prises à l’encontre de certains candidats : “[L]es politiques que vous mettez en œuvre depuis 2022 ne reflètent guère les défis actuels et nouveaux auxquels nous sommes confrontés à l’approche des élections de mi-mandat. Beaucoup de mauvais acteurs et de négateurs d’élections ont continué et intensifié leur diffusion en ligne de fausses informations depuis 2020, et certains sont même sur les bulletins de vote pour les fonctions électives en 2022. Les politiques et les actions des plateformes doivent faire davantage pour combattre spécifiquement ces tendances en 2022 et au-delà.”

Les signataires de la lettre sont divers groupes de gauche, dont le NAACP Legal Defense Fund, le Center for American Progress, la Leadership Conference on Civil and Human Rights et d’autres.

La lettre insiste sur le fait que les grandes entreprises technologiques appliquent “de manière continue et cohérente” leurs programmes de censure demandés.

“La censure avant une élection américaine n’est pas un phénomène nouveau”, indique le rapport de Newsbusters. “Les grands médias et les grandes entreprises technologiques ont volé l’élection de 2020, la jetant sur le président Joe Biden. Un sondage MRC 2020 a révélé que 45 % des électeurs de Biden n’étaient pas pleinement conscients de l’article du New York Post exposant des affaires de corruption présumées le concernant, lui et son fils Hunter, précisément parce que les grands médias et les grandes technologies l’ont blanchi au nom du blocage de la soi-disant ‘désinformation’.”

Le rapport poursuit : “Si les Américains avaient été pleinement informés du scandale, selon le sondage, 9,4 % des électeurs de Biden n’auraient pas voté pour lui. Ce changement aurait fait basculer les six États décisifs remportés par Biden vers l’ancien président Donald Trump, donnant à ce dernier une victoire de 311 voix électorales et scellant un second mandat présidentiel.”


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