Une nouvelle découverte de Yellowstone donne un aperçu de l’origine de la vie


Les chercheurs ont cherché l’origine de la vie sur Terre, et les nouvelles découvertes du parc national de Yellowstone pourraient aider à la clarifier.

Qu’est-ce qui a été découvert au parc national de Yellowstone ?

Les microbiologistes ont trouvé une nouvelle lignée archéenne dans certaines parties du parc national de Yellowstone. Cette révélation aiderait probablement les chercheurs à décider de l’origine de la vie sur Terre et probablement sur différentes planètes.

Une étude sur la divulgation a été distribuée le 14 mai dans la revue Nature Microbiology.

Le professeur William Inskeep de l’Université d’État du Montana et les co-créateurs ont déclaré que “la révélation de la lignée archéenne est essentielle pour notre compréhension de l’arbre universel de la vie et de l’histoire de l’évolution de la Terre”. “Les conditions chaudes et géochimiques variées dans le parc national de Yellowstone offrent des chances extraordinaires d’examiner les archées (Archaea) dans des territoires qui peuvent représenter des analogues de la Terre primitive.”

Les archées sont l’une des premières formes de vie cellulaire sur Terre. Cette révélation peut clarifier comment elle s’est développée après un certain temps et comment la vie sur Terre a changé.

Plus précisément, les archées ont été trouvées dans les eaux acides du Yellowstone. Elles n’ont pas besoin de beaucoup d’oxygène et elles s’épanouissent avec les oxydes de fer. Leur découverte pourrait clarifier comment la vie s’est épanouie sur Terre lorsque la substance ou la composition chimique était différente.

Quel sera le nom de la nouvelle lignée archéologique ?

Les spécialistes ont choisi d’appeler la nouvelle lignée archéenne Marsarchaeota d’après la planète Mars puisqu’elles peuvent survivre dans des territoires avec des oxydes de fer, la substance qui donne à Mars son ombre rouge.

En élargissant le nom de la nouvelle généalogie archéologique, les chercheurs ont également identifié deux sous-groupes principaux qui peuvent survivre dans un territoire avec de l’oxyde de fer. Le premier sous-groupe peut survivre dans l’eau au-dessus de 50 degrés Celsius et l’autre sous-groupe peut survivre dans l’eau au-dessus de 60 à 80 degrés Celsius.

Les chercheurs ont également découvert que la nouvelle généalogie archéologique ne peut pas produire l’oxyde, ce qui révèle et éclaire l’état de la Terre il y a des milliards d’années.

L’importance de la découverte archéologique

Cette nouvelle révélation permettra aux chercheurs de relier des points et d’en arriver à une conclusion en ce qui concerne la compréhension de la biologie à haute température et de la biologie moléculaire. Cela pourrait fournir des connaissances essentielles sur les premières formes de vie sur Terre et peut-être, sur Mars. D’autres recherches seront nécessaires pour en voir les nouvelles implications.

Pour les analystes, c’est époustouflant et incroyable de voir leurs travaux publiés.

Le chercheur Zackary Jay a déclaré : “Enfin, après de nombreuses années de travail, c’est énergisant, c’est excitant et c’est un soulagement de voir notre travail d’équipe reconnu et publié, en particulier dans un magazine à fort impact.”

Source : Science Examiner


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