Le FEM salue les « modèles de big data » et les « capteurs portables » pour « repenser » la manière dont le monde accède aux soins de santé

Sur la base d’une collecte massive de données.

Le Forum économique mondial (FEM) a expliqué comment il envisage l’utilisation de « l’IA » et de ce que l’on appelle la santé numérique pour définir les soins de santé à l’avenir.

Dans un billet de blog publié sur le site du groupe basé en Suisse, Shyam Bishen, du FEM, dont le titre de fonction est « responsable de l’initiative Façonner l’avenir de la santé et des soins de santé », décrit les activités destinées à « accélérer » le travail d’amélioration des soins de santé.

Selon ce membre du conseil exécutif du FEM, cela nécessitera à la fois le déploiement de technologies et un plan global, dont certains éléments devraient être des modèles de big data, la télémédecine et la médecine prédictive, des capteurs portables et de nombreuses plates-formes et applications.

Ce billet, qui coïncide avec la Journée mondiale de la santé, expose les idées du FEM sur la direction que prennent les soins de santé, expliquant l’intérêt du groupe pour ce sujet par son souci présumé du bien-être des personnes et d’un meilleur accès.

« L’IA est considérée comme un élément majeur de cet avenir, en particulier d’ici 2035 », comme le présente le rapport Global Health and Healthcare Strategic Outlook du FEM.

Cette technologie est censée s’intégrer de plus en plus à la prévention, au suivi et à la consultation.

Quant au FEM – un groupe informel réunissant les élites mondiales – il dispose également de la Platform for Shaping the Future of Health and Healthcare conçue pour travailler avec les gouvernements et les entreprises, afin de se donner un rôle dans la définition et la recherche de solutions « d’échelle » pour les systèmes de soins de santé.

Certaines des activités clés du FEM sont listées comme soutenant la fourniture de vaccins au niveau mondial, y compris la contribution à COVAX (un projet de l’alliance de vaccins GAVI, de la Coalition for Epidemic Preparedness Innovations et de l’Organisation mondiale de la santé, l’OMS).

En fait, GAVI a été lancé par le FEM, et d’autres partenariats et collaborations comprennent le Davos Alzheimer’s Collaborative, la collaboration avec Deloitte pour développer « une boîte à outils pour aider les législateurs à développer des politiques réussies sur la technologie pour la santé mentale », etc.

Le FEM souhaiterait également, dans ce contexte, que davantage de personnes soient connectées à l’internet, et cite la nécessité d’un partage des données « solide », ainsi que de la « sécurité et de la confidentialité ».

Le « plan d’action » envisagé par le rapport prévoit donc une planification et des investissements à court, moyen et long terme, ainsi qu’une « harmonisation » de l’utilisation des données et des applications dans l’ensemble du secteur de la santé à travers le monde.

« À l’avenir, les modèles de big data, la télémédecine, la médication prédictive, les capteurs portables et une multitude de nouvelles plateformes et applications pourraient nous aider à repenser la manière dont le monde fournit, accède et gère la santé et les soins de santé », peut-on lire dans le billet de blog.

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Source : Reclaim The Net – Traduit par Anguille sous roche

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