Une piscine en Allemagne interdit les migrants après des agressions sexuelles


Un centre de loisirs allemand a interdit tous les migrants après que deux adolescentes auraient été “tripotées” dans une piscine publique, au milieu de l’indignation en cours sur les agressions sexuelles de masse à Cologne.

L’incident choquant dans un centre de loisirs à Munich : Trois garçons syriens auraient touché une fille de 17 ans, sous son maillot de bain.

Ils ont ensuite été accusés d’avoir touché une fille de 14 ans, la sœur de la jeune fille, après qu’elle soit intervenue pour prendre sa défense.

Les filles ont réussi a sortir de la piscine et ont appelé un responsable sur place qui a alors contacté la police.

Trois garçons syriens, de moins de 15 ans, ont depuis été arrêtés dans le cadre de l’incident.

Révoltée par cette attaque et les préoccupations croissantes, une piscine à Bornheim a depuis riposté en interdisant tous les migrants de ses installations.

L’interdiction est venue juste après qu’un réfugié de 18 ans a été accusé d’avoir agréssé et embrassé une femme de 54 ans sur les lieux.

La femme a seulement été secourue après qu’un couple a entendu ses cris demandant à l’aide, l’adolescent a été arrêté un peu plus tard.

L’interdiction de la piscine a été mise en place lors d’une réunion d’urgence de la population locale, selon le conseiller des affaires sociales et maire suppléant, Markus Schnapka.

Il a dit : “Lors de la réunion publique, je savais que c’était une décision extrêmement difficile et il est clair que de nombreux réfugiés innocents sont également touchés par cela”.

M. Schnapka a ajouté qu’aucun des incidents locaux n’ont conduit à des plaintes pénales et a dit : «Nous parlons principalement d’attaques verbales”.

Les trois garçons syriens arrêtés à Munich n’ont pas été placés en détention provisoire et seront poursuivis en vertu du droit des mineurs.

Deux autres personnes, des amis potentiels de l’un des auteurs présumés, ont également été arrêtées pour leur rôle dans l’incident.

Les dernières préoccupations des migrants en Allemagne se déroulent alors que les résidents de Cologne s’arment de fusils à air comprimé et de bombes lacrymogènes après les agressions sexuelles de la nouvelle année.

La scène extérieure à la cathédrale de Cologne la nuit des attaques

La scène extérieure à la cathédrale de Cologne la nuit des attaques

La police allemande à Cologne

La police allemande à Cologne

Les propriétaires de magasin d’armes ont déjà reçu 73 demandes cette année pour des pistolets à air, en comparaison à seulement 100 pour l’ensemble de l’année 2014, a dit la police locale.

La demande de bombes lacrymogènes est également élevée ce mois-ci à la suite des agressions sexuelles de masse et les résidents locaux cherchent à se défendre.

Plus de 500 femmes ont déclaré avoir été agressées sexuellement, violées et dévalisées après que plus de 1000 migrants ont tout saccagé dans le centre-ville le soir du Nouvel An.

Un porte-parole des procureurs de Cologne a dit qu’ils ont reçu à ce jour 652 plaintes pénales de cette nuit.

Au moins 331 plaintes alléguaient des agressions sexuelles, dont deux cas de viol.

Au total, 739 victimes se sont présentées – principalement des femmes – dont 430 affirmaient avoir été agressées sexuellement.

Les autorités ont également déclaré offrir une récompense de 10 000 € pour toute information menant à l’arrestation ou l’identification de ceux qui ont commis des atrocités.

Les enquêteurs ont déclaré que la majorité des auteurs étaient d’origine nord-africaine et arabe, et l’événement arrive au milieu d’un malaise croissant en Allemagne de la politique d’immigration à porte ouverte controversée d’Angela Merkel.

Le journal allemand Süddeutsche Zeitung a revendiqué que la majorité des assaillants faisaient partie d’une énorme bande de criminels marocains qui ont orchestré les vols, les violences et les agressions sexuelles dans les rues de Cologne ces six derniers mois.

Source : Daily Express


Vous aimerez aussi...

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *