Microsoft s’associe à des banques pour introduire la reconnaissance faciale


Une technologie plus invasive.

Microsoft a annoncé un partenariat de cinq ans avec la National Australia Bank (NAB) pour développer et investir dans la technologie multi-cloud de la NAB et de la Bank of New Zealand. Les deux organisations cherchent des moyens d’identifier les clients par reconnaissance faciale.

Le partenariat verra le développement d’un écosystème multi-cloud qui hébergera 1 000 applications de la NAB sur Microsoft Azure comme service de cloud principal, et d’autres services de cloud comme cloud secondaire si nécessaire.

“Les besoins de nos clients n’ont pas changé, mais leurs attentes quant à la façon dont nous fournissons un service plus personnalisé ont changé”, a déclaré Patrick Wright, chef de la technologie et des opérations d’entreprise de la NAB.

“Pour répondre aux besoins de nos clients, nous devons investir dans les technologies les plus récentes, en nous appuyant sur des leaders mondiaux comme Microsoft pour nous aider à proposer de nouveaux services à nos clients, rapidement et à grande échelle.

L’investissement que nous avons réalisé jusqu’à présent dans la technologie a permis d’établir une base solide, axée sur le cloud, qui a permis à nos collègues de mieux exécuter et d’offrir de bien meilleures expériences à nos clients. Nous sommes ravis de bénéficier du soutien et de l’investissement de Microsoft dans le cadre de ce partenariat, afin de poursuivre le transfert de la banque vers le cloud.

Ensemble, nous allons améliorer la résilience des services bancaires de la NAB et de la BNZ et réduire les délais de développement pour les changements et les améliorations du système, de six semaines à deux jours seulement.”

La NAB s’est intéressée à la biométrie, notamment aux systèmes comportementaux et vocaux. Elle travaille déjà sur une preuve de concept pour démontrer comment la reconnaissance faciale pourrait remplacer la carte de débit à un guichet automatique. Toutefois, un code PIN d’authentification serait toujours nécessaire après la vérification du visage.

Lire aussi : France : un rapport sénatorial préconise d’expérimenter la reconnaissance faciale pour une durée de trois ans

Source : Reclaim The Net – Traduit par Anguille sous roche


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