Trois faux policiers interpellés à Paris en pleine arrestation raciste censée discréditer la police


Une vidéo tournée à Paris le 31 mai et censée être partagée sur les réseaux sociaux devait montrer une fausse interpellation raciste. Trois hommes vêtus de véritables uniformes de police ont été arrêtés et placés en garde à vue.

La Brigade anticriminalité (BAC) a empêché la mise en scène d’une interpellation à caractère raciste, relate Actu 17.

Un groupe de personnes dont trois avec de vrais uniformes de police a attiré l’attention des fonctionnaires à Paris (XVe) le 31 mai dans l’après-midi. Ils ont rapidement compris qu’il s’agissait de faux agents.

Les fonctionnaires ont procédé à un contrôle pour découvrir qu’un tournage réalisé sans aucune autorisation était en cours. Les faux policiers, des figurants et un prétendu réalisateur y participaient.

Jeter le discrédit sur la police

Les faux policiers ont été arrêtés pour usage d’une fausse qualité, selon une source policière. Le réalisateur et le caméraman, conduits au commissariat, font l’objet d’une enquête préliminaire. Lors de leurs auditions, ces deux derniers, âgés de 19 et 26 ans, auraient raconté que l’idée était de mettre en cause les forces de l’ordre.

Selon le scénario, les trois policiers devaient arriver devant un petit magasin pour un vol. Ils devaient laisser partir le voleur, de type européen, avant d’interpeller un individu d’origine africaine sortant de la supérette.

L’idée était donc de dénoncer le racisme dans la police nationale, sur fond de troubles aux États-Unis suite à la mort de George Floyd à Minneapolis.

Les enquêteurs ont également découvert dans les uniformes saisis des affaires appartenant à un policier affecté à Paris.

Les trois faux agents ont été remis en liberté le 1er juin.

Lire aussi : Grigny : match sauvage de football en présence de 300 spectateurs, la police n’intervient pas

Source : Sputnik


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1 réponse

  1. Sécurexpert dit :

    La désinformation et la propagande antiraciste ne connaissent plus de limites :
    Dieu sait quel usage les cinéastes “pompiers-pyromanes” en auraient fait, en inondant les réseaux sociaux avec leur court-métrage !
    C’est digne des heures les plus sombres de la propagande stalinienne !
    Faute de pouvoir mettre en évidence leurs fantasmes les plus écoeurants, encore récemment mis en avant par les divagations victimaires de la chanteuse Camelia Jordana (la police raciste et le “génocide” des minorités), ils en sont réduits à inventer des mises en scène pour accréditer leurs histoires…
    En plus du port illégal d’uniforme (délit prévu et réprimé par l’article 433-15 du Code Pénal, loi du 5 août 2013, par six mois d’emprisonnement et 7 500 euros d’amende), les contrevenants devraient être inculpés d’incitation à la haine raciale ! Mais on imagine aisément que les intéressés bénéficieront de la mansuétude de la justice, sur intervention d’un collectif quelconque de vedettes bobos bien-pensantes.
    Imaginons l’inverse : que des types soient surpris en train de tourner un court-métrage bidon dans la rue mettant en scène l’agression de femmes blanches par des racailles !!!

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