Le mystérieux « monolithe de métal » en plein désert américain a disparu
Un bloc étincelant retrouvé à la mi-novembre dans un désert de l’État de l’Utah, dans lequel certains ont vu une ressemblance avec une œuvre d’art, a été retiré « par un tiers inconnu » le 27 novembre, selon les autorités locales.
Un mystérieux monolithe de métal découvert dans un désert reculé de l’ouest des États-Unis, enflammant l’imagination des curieux sur l’origine de son apparition, a disparu, ont déclaré samedi des responsables locaux.
Le Bureau of Land Management de l’Utah a indiqué avoir reçu des « témoignages crédibles » selon lesquels l’objet avait été retiré « par un tiers inconnu » vendredi soir.
Le bureau « n’a pas supprimé la structure qui est considérée comme une propriété privée », a-t-il déclaré dans un communiqué.
« Nous n’enquêtons pas sur les délits impliquant la propriété privée, qui sont du ressort du bureau du shérif local », ajoute-il.
Une œuvre d’art ?
Le bloc triangulaire étincelant, qui dépasse de plus de 3,5 mètres du sol rougeâtre du sud de l’État de l’Utah, a été découvert le 18 novembre par des responsables locaux ébahis qui survolaient la zone pour compter les spécimens de mouflons.
Après avoir atterri, ces employés du département de la sécurité publique de l’Utah ont pu examiner le « monolithe de métal », ne découvrant « aucune indication claire de qui aurait pu le placer là ».
L’annonce de cette découverte est vite devenue virale sur Internet, certains notant des similarités avec les étranges monolithes extraterrestres du film de Stanley Kubrick, « 2001, l’Odyssée de l’espace ».
D’autres ont relevé une ressemblance avec les œuvres avant-gardistes de John McCracken, sculpteur américain ayant résidé dans l’État voisin du Nouveau-Mexique et décédé en 2011.
Lire aussi : Des scientifiques découvrent un mystérieux « monolithe » métallique dans une région sauvage de l’Utah
Source : Sputnik
Release the Kraken…..
Indeed: he will enter our world by crossing the fault. This is one of the three, the other two are Behemoth and Ziz …
Ce monolithe est maintenant dans le jardin de Joe la Démence
:) ça n’est pas la première fois qu’on se retrouve avec une pierre dans le jardin.
Et puis c’est bien de relativiser : kraken, behemoth, ziz ou le père, le fils, le saint-esprit ou la trimurti ou les neuf muses (c’est un multiple de trois) ou le trident de Poséidon ou les parques ou la vierge, l’ange, l’enfant ou les trois fileuses ou Urd, Verdandi et Skuld ou, plus récemment les trois griffes d’une certaine boisson, le problème des trois corps (et aussi le problème à N corps), la régulation trithalamique (hypothalamus, glande pinéale, hypophyse) etc., c’est manipuler le même concept depuis des millénaires : les humains, l’humanité, ce qui les relie, comment fait-on ? (juste une façon de débroussailler l’affaire)
Prenons (intuitivement car il est … mort) Shakespeare (William), Macbeth : les trois sorcières (avec les trois assassins en miroir), qui ne sont pas les trois parques neutres et dépassionnées, mais trois créatures maléfiques (quoique : Les Folles Sœurs, main dans la main, Voyageuses par mer et terre, vont alentour à tous chemins ; Trois fois pour toi, et trois pour moi, Encore trois fois faisant neuf fois. Paix ! car le charme va se faire.)
Et bien, de mon point de vue (disons que j’ai résolu le problème des trois corps d’une certaine façon et que j’explore la “forêt sombre”), c’est l’esprit du moment, qui les voit de cette façon (comme le mouvement de l’esprit).
Ou encore Hamlet : être (1) ou ne pas être (2), telle est la question (3). Disons que Hamlet l’exprime une dague à la main, face à son reflet dans un miroir (Hamlet, son reflet, le miroir), comment résoudre ce dilemme ? Avec le “tertium non datur” (principe du tiers-exclus) ? Faire ça, c’est utiliser la dague et finir par se blesser (une dague est une arme, une arme, c’est dangereux). Alors, comment faire ? Lâcher la dague pour commencer. Allez dans la salle de bain, regardez dans le miroir, votre reflet : le reflet est vous et vous n’êtes pas (que) le reflet. Prenez une douche (ça fait de la vapeur, un peu comme nos émotions), retournez face au miroir (il est embué, il y a une condensation), votre reflet est indiscernable (vous n’êtes pas le reflet), vous n’avez pas disparu pour autant.
Il y a des éléments qui font un ensemble : sans ces éléments, pas d’ensemble, logique me direz-vous. Et si je vous dis : sans ensemble, pas d’éléments. Que me direz-vous ? Comment résoudre cela ?
Et puis, au-delà de tout ce bla-bla-bla, c’est vraiment intéressant de découvrir l’artiste John McCracken (je ne connaissais pas du tout), de s’immerger dans son regard (ce gars, manifestement, a appris quelque chose de son propre regard) , tant dans les photos de lui que dans ses œuvres.