LinkedIn censure le professeur de médecine de Harvard Martin Kulldorff
LinkedIn pense qu’il est mieux informé.
En raison de ses affirmations selon lesquelles les autorités de santé publique ont exagéré les propriétés protectrices des masques, Twitter a temporairement suspendu en juin Martin Kulldorff, critique respecté des politiques du COVID-19.
Le professeur de l’école de médecine de Harvard avait semblé continuer sur LinkedIn, mais il semble que la foudre ait frappé deux fois dans son cas. Après sa suspension d’un mois de Twitter, Martin Kulldorff s’est tourné vers LinkedIn pour partager des nouvelles et des commentaires sur la politique COVID-19.
Dans un article d’opinion publié en juin, M. Kulldorff a présenté un argument coût-bénéfice contre les vaccins COVID-19 obligatoires pour les enfants. Il a demandé à ses abonnés Twitter de consulter l’article sur LinkedIn, car “Twitter ne permet pas aux vaccinologues de discuter librement des vaccins”.
Le professeur a déclaré à Just the News qu’il est préoccupé par la censure : “…alors je m’autocensure sur Twitter.”
LinkedIn a commencé à enquêter sur ses posts, deux d’entre eux ayant été supprimés pour avoir enfreint la politique de “désinformation” du site.
Cependant, ce n’est pas la première fois que le réseau social professionnel appartenant à Microsoft prend des mesures contre un vaccinologue qui a remis en question l’orthodoxie du COVID-19, c’est arrivé au moins deux fois.
Kulldorff s’est exprimé contre LinkedIn jeudi soir, en affichant un avis par courriel de l’équipe de confiance et de sécurité de la plateforme. Just the News a rapporté qu’un jour plus tard, Kulldorff n’avait toujours pas eu de nouvelles de l’entreprise au sujet des problèmes soulevés dans les messages.
M. Kulldorff a dit à ses abonnés de le trouver sur le réseau social Gab, qui résiste à la censure.
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Source : Reclaim The Net – Traduit par Anguille sous roche
On peut aussi se retourner contre les fondateurs de Linkedin qui ont trahi leurs abonnés en vendant toutes leurs informations et tout le contenu de leur compte, de leurs abonnés, de leurs contacts à Microsoft. Et leur demander réparation pour cette trahison.