Facebook suspend un média pour avoir rendu compte de la dernière histoire de Hunter Biden


Ce n’est pas la première fois que les géants des médias sociaux censurent pour Hunter Biden.

Dans le cadre du plus récent scandale Hunter Biden, Facebook a supprimé certains messages concernant l’histoire et a temporairement suspendu un média pour en avoir parlé.

Il semble parfaitement évident que Facebook censure au nom du fils du président, car il l’a déjà fait auparavant.

Dans un premier temps, Facebook avait empêché la diffusion d’un exposé explosif écrit sur Hunter pendant l’élection de 2020. C’est cet exposé qui a révélé ce qui est arrivé à l’ordinateur portable de Hunter, précédemment disparu, et qui a soulevé des questions sur les relations d’affaires de Biden.

Les plateformes de médias sociaux ont commencé à supprimer les mentions de l’histoire et à fermer les comptes qui en ont parlé.

Cependant, dans ce nouveau scandale, Facebook semble à nouveau prendre la défense de Hunter.

Biden a été filmé en compagnie d’une prostituée présumée dans une vidéo publiée par le journal britannique Daily Mail, décrivant comment des trafiquants de drogue russes pourraient le faire chanter pour un ordinateur portable volé (pas celui décrit dans l’article initial du New York Post).

La vidéo montre ensuite M. Hunter affirmant qu’il y a peut-être des vidéos compromettantes de lui “en train de faire des folies sexuelles” sur l’ordinateur portable, mais ne montrant aucune nudité.

Jeudi, Facebook a retiré de sa plateforme la couverture de la controverse par The Western Journal. Au milieu de toute cette action, The Western Journal s’est également vu interdire la diffusion en continu sur la plateforme pendant les 30 prochains jours.

Bien qu’elle ait été fortement modifiée pour cacher l’identité de la prostituée présumée, la vidéo, selon Facebook, semble être en violation des “normes de Facebook sur l’exploitation sexuelle des adultes”.

Certains articles du New York Post et du Daily Mail semblent également avoir été soumis à des restrictions de Facebook concernant leur couverture de la controverse. Lorsque certains ont tenté de partager ces articles dans Messenger, ils ont reçu une notification d’erreur indiquant que “votre message n’a pas pu être envoyé car il inclut du contenu que d’autres personnes sur Facebook ont signalé comme étant abusif”.

De Western Digital :

“Maintenant, si Facebook a interdit la vidéo dans le but de protéger la femme montrée, cet argument pourrait être raisonnable. Après tout, en filmant une vidéo d’elle nue et en la payant prétendument pour du sexe, on peut certainement soutenir que Hunter Biden l’exploitait sexuellement.

Cependant, si telle était vraiment l’intention de Facebook, il n’était pas nécessaire de restreindre la couverture du scandale par The Western Journal, étant donné que l’identité de la femme est inconnue et que son visage et son corps sont floutés tout au long de la vidéo.”

Lire aussi : Miranda Devine du New York Post : Les médias traditionnels ont étouffé l’histoire de Hunter Biden jusqu’à ce que « leur homme » remporte les élections

Source : Reclaim The Net – Traduit par Anguille sous roche


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