Rapport : Une mère de famille britannique ARRÊTÉE pour avoir publié des messages « offensants » sur Internet
Elle prétend que les militants transgenres se servent de la police pour la harceler, elle et tous ceux qui expriment leur désaccord avec leur idéologie.
Au Royaume-Uni, une mère de cinq enfants fait les gros titres après que la police l’a arrêtée devant ses enfants et a apparemment saisi son ordinateur à la suite de messages en ligne prétendument “offensants” concernant les questions de transsexualité.
Le Daily Mail rapporte les affirmations de Caroline Farrow, une “militante féministe catholique”, qui dit avoir été arrêtée pour avoir publié des messages et des mèmes sur le forum en ligne KiwiFarms.
Mme Farrow, qui a déjà eu des démêlés avec la police du Surrey sur le même sujet, affirme que des agents sont entrés de force chez elle et lui ont confisqué tous ses appareils, y compris un iPad qu’elle utilise pour faire l’école à ses enfants.
They seized all my devices including my work chromebook and “the homework iPad”. Which will upset the 10 year old with autism even more because all her Harry Potter audiobooks are stored on there. And now she can’t do homeschooling.
— Caroline Farrow (@CF_Farrow) October 4, 2022
Mme Farrow affirme qu’elle n’est pas à l’origine des messages que quelqu’un a signalés à la police comme étant “offensants” :
It’s scary that the police can take someone’s word for something and just come and arrest you.
All they could say is “we’ve had an allegation which needs to be investigated.”
— Caroline Farrow (@CF_Farrow) October 4, 2022
Charges are harassment and malicious communications. If the harassment (twitter argument) is deemed to be motivated by someone’s protected characteristic, it’s up to 2 years imprisonment.
— Caroline Farrow (@CF_Farrow) October 5, 2022
Elle a posté des images de la police entrant chez elle pour l’arrêter :
How it finished. Being frisked and whisked off to be taken to the cells and shown some memes posted by someone else. pic.twitter.com/dC8GVD6Vra
— Caroline Farrow (@CF_Farrow) October 4, 2022
Dans une interview accordée à GB News, Farrow, qui a été libérée dans l’attente d’une enquête, a affirmé : “J’ai été arrêtée pour ce qui était une prise de bec sur Twitter à propos de questions de genre.”
Mme Farrow a affirmé que les activistes transgenres utilisent la police pour harceler ceux qui ne sont pas d’accord avec leur idéologie, une position qu’elle a rendue publique depuis un certain temps déjà.
Just discovered there was an Ofcom complaint about this. Proves the point. Every time I try to talk about what’s happening, there is an attempt to silence me. https://t.co/La1CndoP6w
— Caroline Farrow (@CF_Farrow) October 6, 2022
Part of the reason this is happening is because the trans activists and the militant political LGBT lobby (to be clear NOT my lovely LGB friends who are just trying to live their lives) HATE both what @CitizenGO does and HATE the fact that they refuse to fire me.
— Caroline Farrow (@CF_Farrow) October 6, 2022
This woman is being f’d over by an overly litigious trans activist as well as the Surrey Police in England. It’s been going on for years. It needs to stop. https://t.co/MPOZeyNel9
— Ian Miles Cheong (@stillgray) October 6, 2022
La police a publié une déclaration sur l’affaire après les réactions négatives du public suite à des reportages dans les médias, dans laquelle elle affirme qu’il est de son devoir d’enquêter sur le signalement d’un “message grossièrement offensant” et de “l’évaluer avec toutes les preuves disponibles pour déterminer si une infraction a été commise”.
“Nous n’avons pas la liberté de détailler chaque étape de nos enquêtes ou les détails d’une allégation sur les médias sociaux, car il est essentiel de ne pas anticiper ou de ne pas porter préjudice à toute procédure future, à quelque stade que ce soit”, ajoute la déclaration.
Alors que l’affaire Farrow est clairement une bataille en cours entre son organisation et les militants transgenres, de nombreuses personnes non affiliées au Royaume-Uni ont raconté comment elles ont été harcelées par la police pour des messages “offensants” sur les médias sociaux.
Le Mail note que Mme Farrow a déjà fait l’objet d’une enquête de police concernant des allégations selon lesquelles elle aurait mal parlé de la fille transgenre du directeur de l’organisation caritative transgenre Mermaids et aurait accusé l’organisation de promouvoir la maltraitance des enfants.
Les derniers développements ont amené un examen plus approfondi de l’organisation caritative :
We’ve now learned that Mermaids appointed a paedophilia apologist as Trustee and that their online moderator encouraged kids to move onto a platform notorious for sexual exploitation. This is a charity that’s achieved unprecedented influence in the UK. 2/5 https://t.co/7guDJYAalJ
— J.K. Rowling (@jk_rowling) October 4, 2022
India, I swear to God, if you want to start a petition for Mermaids to take me on in court, the first signature will be mine. https://t.co/1HZ6BbCX55
— J.K. Rowling (@jk_rowling) October 5, 2022
Lottery pauses cash for trans charity Mermaids during investigation | News | The Times https://t.co/3uN272UM8C
— Julie Bindel (@bindelj) October 6, 2022
If only someone had raised concerns about Mermaids years ago. If only someone had told orgs, like the lottery, they were funding child abuse. If only someone had told celebrities, like Emma Watson, they would regret supporting the charity.
Oh, wait, we did. We were called bigots.— Sonia Poulton (@SoniaPoulton) October 6, 2022
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