Des médecins avertis qu’ils pourraient perdre leur licence pour avoir contredit les informations des CDC sur les traitements et les vaccins COVID


La Federation of State Medical Boards a publié cet avertissement dans le but d’écraser ce qu’elle appelle la désinformation en ligne.

La Federation of State Medical Boards, un organisme à but non lucratif qui représente tous les conseils médicaux des États américains, avertit que les médecins qui contredisent délibérément les directives des CDC sur le COVID risquent de perdre leur licence d’exercice de la médecine dans leurs juridictions respectives.

Cela pourrait, selon eux, contribuer à freiner la propagation de ce qu’ils disent être de la désinformation sur les plateformes de médias sociaux comme Twitter et Instagram.

Selon une déclaration envoyée par courriel à Becker’s Hospital Review par la FSMB, tout professionnel de la santé qui crée ou diffuse des informations erronées sur les vaccins ou de la désinformation risque des mesures disciplinaires de la part des conseils médicaux des États, y compris la suspension ou la révocation de leur licence médicale.

Le Dr Michael Ward, médecin généraliste à la clinique Utica Park de Glenpool, a déclaré ce qui suit :

“Cela se résume à cette chose très simple, êtes-vous prêt à prendre ce risque et si vous l’êtes, c’est votre décision et en tant que médecin, je dois l’honorer.”

Il affirme que la décision de se faire vacciner a été difficile pour ses patients, ce qu’il attribue à la diffusion de fausses informations.

“Je dirais que c’est une chose triste qu’il y ait autant de désinformation”, déclare l’auteur. Dr Ward.

“En raison de leurs connaissances et de leur formation spécialisées, les médecins agréés possèdent un haut degré de confiance du public et ont donc une plateforme puissante dans la société, qu’ils le reconnaissent ou non”, a déclaré le FSMB.

“Ils ont également la responsabilité éthique et professionnelle de pratiquer la médecine dans le meilleur intérêt de leurs patients et doivent partager des informations factuelles, scientifiquement fondées et consensuelles pour l’amélioration de la santé publique.”

La FSMB n’a pas encore défini explicitement la “désinformation” ou la “mésinformation” dans sa politique, mais un porte-parole de la FSMB a déclaré à Becker que le comité d’éthique de l’organisation étudie les préoccupations relatives à la désinformation et à la mésinformation des médecins et espère donner des orientations supplémentaires à une date ultérieure.

“Cependant, nous considérons actuellement la désinformation comme le partage ou la distribution d’informations fausses vérifiables”, a déclaré le porte-parole. “Nous définissons la désinformation comme le partage ou la distribution d’informations que le distributeur sait être fausses.”

Bien que le FSMB n’ait pas encore formulé de recommandation pour les définitions de la désinformation et de la mésinformation, les conseils médicaux des États et des territoires peuvent utiliser des termes vagues comme “faute professionnelle” ou “violation de l’éthique” pour répondre aux préoccupations concernant la désinformation et la mésinformation dans leurs procédures.

Lire aussi : Un médecin licencié de l’Université de la Saskatchewan après avoir publié une déclaration en ligne demandant un « consentement éclairé » sur les vaccins

Source : Reclaim The Net – Traduit par Anguille sous roche


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