Une étude affirme que de plus en plus d’enfants sont gros et en mauvaise santé à cause du réchauffement climatique
Pas parce qu’on les nourrit avec de la merde et qu’on les encourage à végéter devant des iPads et des téléviseurs ?
Une étude publiée dans la revue Temperature affirme qu’il existe une corrélation entre la hausse des températures et le fait que les enfants deviennent plus gros et plus malsains.
L’étude affirme que le changement climatique incite davantage d’enfants à rester à l’intérieur, à manger davantage et à être généralement moins actifs.
CBS Mornings a couvert les “résultats” le week-end dernier, notant que près d’un tiers des enfants sont moins en forme qu’il y a une génération.
L’étude note également que moins d’enfants pratiquent une activité physique pendant 60 minutes par jour.
L’argument central de l’étude concerne “l’évaluation du stress thermique” et affirme qu’il est plus “dangereux” et moins amusant pour les enfants d’être actifs s’il fait plus chaud dehors.
Today’s children are 30% less aerobically fit than their parents were at their age, a new study found.
The study points to climate change and rising temperatures adversely affecting childhood obesity, as children spend less time exercising outdoors. pic.twitter.com/26WehoLK9I
— CBS Mornings (@CBSMornings) August 13, 2022
Les critiques ont fait remarquer que l’étude utilise des statistiques enregistrées pendant la période de confinement du COVID, et qu’à ce titre, elle peut être faussée.
Elle note que “le changement climatique n’exercera pas seulement des effets directs comme des températures ambiantes plus élevées dans de nombreuses régions, mais il sera également responsable d’effets indirects qui peuvent affecter de manière indépendante les habitudes d’activité physique des enfants, par exemple comme cela a été observé pendant la pandémie mondiale de Covid-19”.
Le fait que les enfants deviennent obèses et en mauvaise santé est peut-être davantage lié au fait que leurs parents les nourrissent de plus en plus d’aliments malsains (plus abordables), associé au fait que la société encourage, protège et célèbre même les modes de vie malsains.
Ce point a été récemment amplifié par Bill Maher, qui a noté que “C’est orwellien de voir à quel point la positivité est souvent utilisée pour décrire ce qui n’est pas sain !”
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