Les Chinois chargent du lait de vache d’exosomes d’ARNm et réussissent à immuniser des souris


L’assaut du vaccin ARNm COVID-19 est possible par le biais de l’approvisionnement alimentaire.

Par Peter A. McCullough, MD, MPH

Les agences de santé publique peuvent manipuler l’approvisionnement alimentaire du pays pour influencer les résultats de la population. Un bon exemple est l’enrichissement des céréales en acide folique – la forme synthétique de l’acide folique – qui a permis de réduire l’incidence des malformations du tube neural (par exemple, le spina bifida). Aujourd’hui, une voie d’administration orale est envisagée spécifiquement pour la vaccination COVID-19 en utilisant l’ARNm dans le lait de vache.

Zhang et ses collègues ont démontré qu’un code d’ARNm raccourci de 675 paires de bases pouvait être chargé dans des paquets de phospholipides appelés exosomes dérivés du lait et ensuite, en utilisant ce même lait, être administré à des souris. Le tractus gastro-intestinal des souris a absorbé les exosomes et l’ARNm a dû se retrouver dans la circulation sanguine et le tissu lymphatique, car les souris nourries ont produit des anticorps contre la protéine Spike du SRAS-CoV-2 (domaine de liaison au récepteur).

Un vaccin oral pour le SARS-CoV-2 RBD mRNA-lait bovin- exosomes dérivés induit une réponse anticorps neutralisante in vivo. Quan Zhang, Miao Wang, Chunle Han, Zhijun Wen, Xiaozhu Meng, Dongli Qi, Na Wang, Huanqing Du, Jianhong Wang, Lu Lu, Xiaohu Ge bioRxiv 2022.12.19.517879 ; doi : https://doi.org/10.1101/2022.12.19.517879

D’un point de vue scientifique, ces mesures expérimentales prises par les Chinois ont été une réussite éclatante. Toutefois, compte tenu des dommages causés par les vaccins à ARNm en termes de blessures, de handicaps et de décès, ces données soulèvent des questions éthiques considérables. Le projet COVID States a montré que 25 % des Américains ont réussi à ne pas se faire vacciner. Ce groupe aurait de fortes objections à la présence d’ARNm dans l’approvisionnement alimentaire, en particulier si cela se fait subrepticement ou avec un étiquetage/des avertissements minimaux. Les enfants pourraient être ciblés par un vaccin oral facile à administrer ou recevoir de l’ARNm par le biais du lait lors des déjeuners scolaires et d’autres repas non surveillés.

Pour ceux qui ont reçu l’un des vaccins COVID-19, l’offre de vaccins laitiers en tant qu’autorisation d’utilisation d’urgence permettrait de charger encore davantage l’organisme avec de l’ARNm synthétique qui s’est avéré résistant aux ribonucléases et qui peut résider de manière permanente dans le corps humain.

Ces observations m’amènent à conclure que la technologie de l’ARNm vient d’entrer dans une toute nouvelle phase de développement, beaucoup plus sombre. Il faut s’attendre à davantage de recherches sur l’ARNm et à une plus grande résistance à celui-ci dans notre alimentation. Les Chinois viennent de franchir la première étape de ce qui sera probablement beaucoup plus dangereux pour le monde.

An oral vaccine for SARS-CoV-2 RBD mRNA-bovine milk-derived exosomes induces a neutralizing antibody response in vivo Quan Zhang, Miao Wang, Chunle Han, Zhijun Wen, Xiaozhu Meng, Dongli Qi, Na Wang, Huanqing Du, Jianhong Wang, Lu Lu, Xiaohu Ge bioRxiv 2022.12.19.517879; doi: https://doi.org/10.1101/2022.12.19.517879

COVID States Project Gives New Hope to Unvaccinated Study Shows 25% Declined Shots–A Healthy Minority

Lire aussi : Les scientifiques s’interrogent sur l’utilité des écouvillons dans le nez de tout le monde : « Nous en avons peut-être trop fait »

Source : Substack Peter A. McCullough – Traduit par Anguille sous roche

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1 réponse

  1. Patrick dit :

    Et pourquoi cette obsession pour les vaccins, et rien en faveur d’une vie saine ?

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