Joe Biden insiste toujours sur le fait que les allégations sur son fils Hunter sont de la « désinformation russe »


Au cours d’une conférence de presse mardi, Joe Biden a déclaré aux journalistes que son ministère de la Justice rendra « ses propres jugements » sur son fils, tout en insistant sur le fait que les controverses autour de Hunter Biden sont de la « désinformation russe ».

Lorsqu’on lui a demandé s’il avait discuté des enquêtes sur son fils avec son équipe, M. Biden a répondu que non, mais qu’il allait nommer un procureur général qui « fera respecter la loi ».

Il a répondu : « Le procureur général des États-Unis d’Amérique n’est pas l’avocat du président. Je vais nommer quelqu’un dont j’attends qu’il fasse respecter la loi telle qu’elle est écrite, et non pas guidée par moi. »

Rapports de RT : Hunter Biden a révélé récemment qu’il fait l’objet d’une enquête pour ses « affaires fiscales ». Cette annonce fait suite à des mois de controverse autour des Biden après qu’un ordinateur portable appartenant prétendument à Hunter ait montré des messages où il insinuait que son père était impliqué dans ses affaires à l’étranger, ce que l’ancien vice-président a toujours nié.

À un journaliste de Fox News qui lui demandait s’il croyait toujours que les articles sur Hunter étaient de la « désinformation russe », Biden a répondu « oui, oui et oui », puis il a semblé trébucher sur ses paroles alors qu’il exprimait sa frustration face aux interrogatoires incessants sur son fils.

« Dieu t’aime, mec », a déclaré Biden au journaliste. « Tu es un poney cheval, je te le dis. » (You’re a one-horse pony)

« Je vous promets que mon ministère de la justice sera totalement seul à décider de la manière de procéder », a ajouté M. Biden.

Les conservateurs ont continué à critiquer le démocrate pour son licenciement de tout ce qui est négatif concernant Hunter, certains demandant même au président Donald Trump de nommer un conseiller spécial pour enquêter avant qu’il ne quitte son poste.

Le commentaire de Joe Biden sur le « poney cheval » a également alimenté les moqueries, beaucoup citant d’autres exemples de sa longue histoire de gaffes publiques.

« Ce qui est plus troublant : L’expression “poney cheval” de Biden, ou sa conviction que faire un reportage sur Hunter est de la “désinformation russe” ? » a tweeté Tom Elliott, fondateur de Grabien.


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