La nièce du sénateur confirme que Joe Biden lui a caressé le téton quand elle avait 8 ans


La nièce du sénateur du Montana Steve Daines, Maria Piacesi, a confirmé que Joe Biden lui a pincé le téton devant les médias du monde entier alors qu’elle n’avait que 8 ans.

En 2015, Joe Biden, alors vice-président, a présidé une cérémonie de prestation de serment au Sénat, au cours de laquelle il a été surpris en train de caresser le téton droit de Maria Piacesi, la fille de Christine, la sœur du sénateur du Montana Steve Daines, et de son mari Rob Piacesi.

La séquence originale était disponible sur le site C-SPAN.org, mais a été retirée lorsque les démocrates et les grands médias ont demandé aux téléspectateurs de ne pas en croire leurs yeux menteurs.

Regardez :

Rightjournalism.com rapporte : Maria confirme maintenant que Creepy Joe l’a pincée, mais elle a peur de parler.

Selon le témoignage de Maria, c’est elle, l’enfant de 8 ans (aujourd’hui 14 ans) que Joe Biden aurait molesté sur scène.

Un détective sur Internet a trouvé son profil Tik Tok et l’a interrogée sur cet “incident”.

Elle a confirmé que Joe Biden lui avait pincé le téton droit, mais qu’elle avait peur de parler et que même si elle le faisait, rien ne serait fait !

Captures d’écran de la conversation avec Maria :

-Joe Biden t’a pincé ?
-Oui
-Pourquoi ne pas en parler ?

-Pourquoi as tu supprimé le commentaire ?
-J’ai des amis qui ne seraient plus amis avec moi s’ils savaient ça.
-Ces “amis” ne sont pas de vrais amis alors. Tu a été abusée par un pervers et tu mérites justice, mais tu es la seule à pouvoir obtenir cette justice en le disant aux autres.
-Ce qu’il t’a fait n’est pas juste, tu n’a pas de problème non plus, aucun homme ne devrait jamais être autorisé à faire ce qu’il t’a fait, il mérite d’être puni.

-Je ferais quelque chose à ce sujet si je pensais que cela pouvait aider mais je pense honnêtement qu’à ce stade, cela ne ferait que mettre les gens en colère et j’ai déjà eu des gens qui m’ont appelé en disant que je mentais, que c’était des conneries, même si ce n’est pas le cas, mais je ne pense pas que cela aiderait à quoi que ce soit en ce moment.
-Je comprends ton appréhension. Mais le pire, c’est de le laisser s’en tirer parce qu’il peut ensuite le faire à d’autres. Je veux juste que tu saches qu’il y a des millions de personnes qui sont de ton côté et qui te croient. Il y a des preuves vidéo de ce qui s’est passé et je te crois. Nous te croyons tous.

Pourtant, la culture de l’indignation ne se soucie pas d’elle, même si l’incident a été enregistré à la télévision nationale.

Vous vous souvenez de tous les cris que nous avons entendus au cours des 4 dernières années sur le fait de “croire toutes les femmes” ?

Il s’avère que ceux qui l’ont poussé ne le pensaient pas vraiment. À moins qu’un conservateur/républicain ne soit accusé sans preuve.

Rappelez-moi à quoi sert la “Journée internationale de la femme”.

Une séquence de C-SPAN montrant Joe Biden en train de toucher des jeunes filles a été signalée et supprimée par Twitter pour avoir violé sa “politique d’exploitation sexuelle des enfants”.

Le problème est apparu après que le militant progressiste texan Johnny Graz a affirmé que Joe Biden devait faire l’objet d’une enquête pour agression sexuelle.

L’utilisateur de Twitter Jake Koenig, cherchant à soutenir l’argument de Graz, a posté des images de C-SPAN montrant Biden interagissant avec des jeunes filles lors des cérémonies de prestation de serment de leurs parents au Congrès en 2015.

Les critiques ont souligné que Biden touchait les jeunes filles dans des zones sensibles et chuchotait parfois à leurs oreilles.

Lorsque Koenig a publié la séquence sur Twitter, son compte a été verrouillé jusqu’à ce qu’il accepte de la supprimer.

“J’ai essayé de répondre avec une vidéo de preuves sur la façon dont Biden interagit avec les femmes et les petites filles, mais Twitter m’a signalé que j’essayais de poster des images de molestation d’enfants hahahahahahhaha. Je suppose que Twitter est d’accord avec @jvgraz”, a-t-il tweeté.

Twitter l’a signalé comme “contenu interdit qui viole [sa] politique d’exploitation sexuelle des enfants”.


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