L’ambassadrice des États-Unis en France nie l’histoire de The Atlantic et affirme que Trump « n’a jamais dénigré un membre de l’armée américaine »
L’ambassadeur des États-Unis en France et à Monaco, Jamie McCourt, a déclaré en exclusivité à Breitbart News lundi que l’histoire de The Atlantic concernant le président Donald Trump qui aurait traité les vétérans militaires de « perdants » et de « nuls » est fausse.
Cette fois, l’ambassadrice des États-Unis en France, Monaco Jamie McCourt, a déclaré que l’histoire de The Atlantic était de la foutaise.
L’ambassadrice McCourt était présente le jour où l’équipe du président Trump a annulé le voyage au cimetière de Belleau Wood en raison du mauvais temps. Elle est la dernière responsable américaine présente à l’événement à avoir publiquement démenti le récit des événements de The Atlantic, qui repose entièrement sur des sources anonymes. – Breitbart
« Il va sans dire que je n’ai jamais parlé à The Atlantic, et je ne peux pas imaginer qui le ferait », a déclaré M. McCourt. « En ma présence, POTUS n’a JAMAIS dénigré un membre de l’armée américaine ou une personne au service de notre pays. Et il ne l’a certainement pas fait ce jour-là non plus. Permettez-moi d’ajouter qu’il était dévasté de ne pas pouvoir se rendre au cimetière de Belleau Wood. En fait, le lendemain, il a assisté et pris la parole à la cérémonie à Suresnes sous une pluie battante. »
Il est étonnant de voir à quelle vitesse se dénoue le succès de l’article de The Atlantic, dont l’origine est anonyme. Il est presque aussi étonnant que douteux qu’un magazine appartenant à l’ex-femme de Steve Jobs – un mégadonateur de Biden – fasse flotter la revendication en premier lieu.
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L’ancien chef d’état-major de la Maison Blanche John Kelly est devenu le dernier ancien responsable de l’administration Trump à nier le fait que le président Trump ait traité les soldats de « perdants » et de « nuls ».
Lors d’un entretien avec Breitbart News, Zach Fuentes, ancien chef de cabinet adjoint de la Maison Blanche, a laissé entendre que Kelly n’aurait jamais été là pendant que Trump dénigrait les Marines tombés au combat, et que le journal a peut-être fait un amalgame des commentaires faits par Trump le jour suivant.
« Vous pouvez me faire enregistrer en niant que j’ai parlé avec The Atlantic », a déclaré Fuentes lundi. « Je ne sais pas qui sont les sources. Je n’ai pas entendu POTUS traiter qui que ce soit de perdant quand je lui ai parlé du temps. Honnêtement, pensez-vous que le Général Kelly aurait laissé N’IMPORTE QUI traiter de perdants les Marines déchus ? »
Fuentes a ajouté qu’il pense que les sources de The Atlantic « sont des comptes-rendus de première main peu probables », ajoutant qu’« ils mettent en parallèle ces personnes avec quelque chose du lendemain ».
Fuentes a également déclaré à Breitbart News qu’il était contrarié que Trump ait parlé négativement de Kelly.
« D’un autre côté, je suis déçu de voir POTUS parler du général Kelly de manière si négative alors qu’il est accusé de dire des choses négatives sur l’armée », a déclaré Fuentes. « Si quelqu’un comprend le service désintéressé, c’est bien le général Kelly. »
Le fait que Fuentes – le plus proche allié de Kelly – nie maintenant publiquement le rapport de The Atlantic est une atteinte monstrueuse à la crédibilité du rapport. Plusieurs critiques de Trump, dont l’ancien conseiller à la sécurité nationale John Bolton, ont également nié ce fait.
Toutes les personnes qui se trouvaient prétendument dans la salle et qui se sont exprimées jusqu’à présent ont nié le récit de ce qui s’est passé. Le démenti de Fuentes, rapporté ici en exclusivité sur Breitbart News en premier lieu, porte un nouveau coup à la crédibilité de The Atlantic. – Breitbart News
« Je pense aussi que tout président, quelle que soit son affiliation politique, mérite d’avoir des conversations franches et privées avec des conseillers de confiance », a poursuivi M. Fuentes. « Si le président décide d’en parler, c’est son droit, mais en général, je ne pense pas qu’il m’appartienne de divulguer les conversations privées que j’ai eues avec lui. »
En d’autres termes, Kelly et son conseiller principal, qui ne sont pas connus pour être du type MAGA, soutiennent le président sur l’article de The Atlantic.
Pendant ce temps, Jeffrey Goldberg, rédacteur en chef de The Atlantic, a reconnu qu’ils se sont peut-être trompés sur une partie de l’histoire. Lisez à ce sujet sur The Federalist.
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Source : Zero Hedge – Traduit par Anguille sous roche
