51% des musulmans américains veulent la charia; 60% des jeunes musulmans plus fidèles à l’islam qu’aux États-Unis


Vraiment, vous vous attendiez à quoi ? Une partie considérable de la politique intérieure et étrangère des États-Unis est fondée sur l’hypothèse que l’islam aux États-Unis sera différente : que les musulmans ici ont des croyances différentes d’ailleurs, et n’acceptent pas les doctrines de violence contre les non-croyants qui ont caractérisé l’islam à travers son histoire. Mais sur quoi est basée cette hypothèse ? Rien que des vœux pieux. Et les générations futures des non-musulmans vont payer le prix.

Le candidat au poste du président Ben Carson à suggérer un test de fidélité pour les musulmans à la recherche de hautes fonctions, Jake Tapper de CNN a soutenu qu’il ne connaît pas un seul musulman américain qui veut islamiser l’Amérique.

“Je ne connais pas d’américains musulmans – et j’en connais beaucoup – qui agissent de cette manière, même s’ils sont musulmans pratiquants”, a-t-il dit en fronçant les sourcils.

Tapper ne sort pas beaucoup. S’il l’avait fait, il aurait remarqué que 51% des musulmans vivant aux États-Unis préféreraient avoir «le choix d’être gouvernés selon la charia», ou la loi islamique. Ou encore que 60% des américains musulmans de moins de 30 ans ont dit à Pew Research qu’ils sont plus fidèles à l’islam qu’à l’Amérique.

Peut-être qu’ils sont tous hérétiques, donc nous allons voir ce que les musulmans éclairés pensent.

Si Tapper avait fait un peu de recherche indépendante, il aurait rapidement constaté que les plus respectés dirigeants et érudits musulmans de l’Amérique veulent aussi la théocratie, pas la démocratie, et préconise même la négociation de la Constitution pour le Coran.

Ce ne sont pas des joueurs marginaux. Ce sont les hauts fonctionnaires représentant l’établissement musulman en Amérique aujourd’hui.

Espérons qu’aucun d’eux ne se présente comme président, parce que voici ce qu’il aurait à dire sur le système de gouvernement des États-Unis :

• Muzammil Siddiqi, président du Conseil Fiqh d’Amérique du Nord, qui distribue les décisions islamiques, et qui est également président de North American Islamic, qui détient la plupart des mosquées aux États-Unis, a déclaré : “En tant que musulmans, nous devrions participer au système pour protéger nos intérêts et nous essayons d’apporter un changement progressif, mais il ne faut pas oublier que les règles d’Allah doivent être mises en place dans tous les pays, et tous nos efforts devraient conduire à cette direction.”

• Omar Ahmad, co-fondateur du Conseil sur les relations américano-islamiques, le groupe de pression musulman populaire à Washington dit : “L’islam n’est pas en Amérique pour être égale à toute autre foi, mais pour devenir dominante. Le Coran doit être la plus haute autorité en Amérique, et l’islam est la seule religion acceptée sur la Terre.”

• Le porte-parole du CAIR, Ibrahim Hooper déclare : “Je ne voudrais pas donner l’impression que je n’aimerais pas que le gouvernement des États-Unis devienne parfois islamique à l’avenir.”

• Imam Siraj Wahhaj, directeur de l’Alliance musulmane en Amérique du Nord : “Avec le temps, cette soi-disant démocratie s’effondrera, et il n’y aura plus rien. Et la seule chose qui restera sera l’islam.”

• Imam Zaid Shakir, co-fondateur de Zaytuna College à Berkeley en Californie : “Si nous mettons une infrastructure nationale en place et mobilisons nos ressources, nous reprendrions ce pays très rapidement… Quelle grande victoire ce sera pour l’islam d’avoir ce pays parmi les rangs des musulmans.”

Source : JihadWatch


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