Un média de gauche préconise l’utilisation de médicaments pour chevaux pour des avortements « à faire soi-même »


Oh, quelle ironie.

Après que le média de gauche VICE a publié un guide de l’avortement “à faire soi-même” comprenant des instructions détaillées pour fabriquer des “pilules abortives”, les critiques ont souligné l’ironie du fait que l’un des ingrédients cités est également utilisé pour traiter les chevaux.

Au cours de l’année dernière, les partisans de l’ivermectine, un médicament qui, selon eux, aide à guérir le COVID-19, ont été critiqués par les médias pour avoir encouragé les gens à prendre du “vermifuge pour chevaux”, alors que ce médicament est également prescrit aux humains.

Les réseaux de médias sociaux ont censuré les informations relatives à l’efficacité de l’Ivermectine et ont banni les médecins éminents qui l’approuvaient.

L’animateur de podcasts Joe Rogan a également été mis au pilori par les médias grand public pour avoir déclaré avoir pris de l’Ivermectine dans le cadre de son cocktail de rétablissement après avoir attrapé le COVID.

VICE avait précédemment affirmé que Joe Rogan avait “diffusé des informations erronées” sur l’ivermectine, “le vermifuge pour chevaux qu’il a pris” lorsque le podcasteur a contracté le virus.

Cependant, dans un article publié par VICE hier, le journaliste Jason Koebler encourageait les femmes à se faire avorter même si cela devenait illégal dans leur État, en renvoyant à une vidéo dans laquelle Mixael Laufer évoquait les difficultés d’acquisition du misoprostol, utilisé pour traiter les ulcères chez les chevaux.

Mike Cernovich s’est demandé si Twitter allait censurer l’article étant donné ses efforts précédents pour mettre sur liste noire les informations sur l’Ivermectine.

Apparemment, prendre des médicaments que l’on donne aussi aux chevaux n’est sûr et efficace que si vous le faites pour aider des causes de gauche comme l’interruption des fœtus.

“C’est OK quand on le fait !”


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1 réponse

  1. justin kœmm dit :

    laissons les s’autoéxterminer sans les blamer.
    mon corps – mon choix.
    la perte de leur patrimoine génétique ne sera pas vraiment une perte

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