Un journaliste japonais visite la CHAZ pour prouver qu’elle est pacifique et part 15 minutes plus tard avec un œil au beurre noir

Un artiste japonais, militant de gauche et reporter qui s’est rendu à Seattle pour couvrir la zone autonome de Capitol Hill (CHAZ) et pour prouver au monde que la manifestation était non-violente n’a duré que 15 minutes à l’intérieur de la CHAZ, avant d’être sévèrement battu par certains des « manifestants pacifiques ».

Oogesa Taro, l’organisateur d’un projet d’art social collectif appelé « Without Borders », s’est rendu aux États-Unis pour étudier les protestations qui ont éclaté à la suite de la mort de George Floyd à Minneapolis.

D’après les informations recueillies sur le terrain au sein de la CHAZ, il n’a pas fallu longtemps avant que Taro ne soit attaqué et battu par certains des habitants les moins accueillants de la région.

Malgré la rencontre violente et l’hostilité, l’esprit libéral de Taro l’a ramené sur la scène du crime où il a continué à trouver des excuses aux auteurs des crimes.

« Je suis de retour. #CHOP. Pour prouver que ce n’est pas une protestation qui affirme la violence. Pour prouver que ce n’est pas une manifestation violente », a-t-il dit.

Le voyage de l’innocent libéral japonais au cœur des troubles civils américains a suscité beaucoup de rires en ligne, certains partageant des représentations visuelles des attentes libérales de Taro par rapport à la réalité.

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