Une étude du Lancet financée par Bill Gates révèle l’échec des mesures de confinement et des vaccins


Une nouvelle étude publiée dans le Lancet et financée par la fondation Bill et Melinda Gates sur la “charge mondiale de morbidité” a mis en évidence l’échec des interventions en cas de pandémie, telles que les mesures de confinement et les vaccins.

Publiée le 3 avril, l’étude comprend des données mondiales sur la mortalité, normalisées selon l’âge, pendant la pandémie. Cette étude sur la charge mondiale de morbidité (GBD), comme son nom l’indique, est une évaluation massive de l’impact de la maladie à l’échelle mondiale. Le rapport inclut les données de mortalité par âge des deux premières années de la pandémie et donne donc une indication de l’efficacité globale des mesures mises en œuvre. Les méthodes utilisées pour déterminer la mortalité pandémique intègrent les données relatives à la surmortalité, combinées aux taux d’infection et aux décès spécifiques au COVID-19. Les données contenues dans ce rapport brossent un tableau inquiétant et montrent une augmentation substantielle de la mortalité mondiale dans tous les groupes d’âge entre 2020 et 2021.

Voici un graphique des données de cette étude comparant la mortalité COVID-19 en 2020 et 2021 pour différentes tranches d’âge (Fig. 1) :

Ces graphiques illustrent l’augmentation exponentielle du risque de décès avec l’âge et l’augmentation substantielle de la mortalité entre 2020 et 2021. Voici un graphique du taux de mortalité en pourcentage pour différentes tranches d’âge, tiré de l’étude GBD (Fig. 2) :

Les organismes gouvernementaux, les revues scientifiques respectées et les médias nous ont continuellement induits en erreur quant au risque lié à l’âge. Le message universel était que tout le monde était à risque. Le tableau ci-dessus indique qu’à l’échelle mondiale, toute personne de moins de 60 ans a moins de 0,1 % de chances de mourir, sans même tenir compte des risques sanitaires individuels. Les vaccins ont été présentés comme étant initialement efficaces contre la transmission, puis, lorsque cette bulle a éclaté, comme étant très efficaces contre la mortalité. L’impact sur la mortalité n’est malheureusement pas étayé par ce rapport où l’une des principales différences entre 2020 et 2021 est l’intervention sanitaire mondiale sans précédent de 11,3 milliards de vaccins. Cette absence d’impact bénéfique (et peut-être préjudiciable) n’est même pas mentionnée dans ce rapport qui, pourtant, ne cesse de souligner la gravité supposée de la pandémie et la nécessité d’interventions mondiales bien informées.

Si nous examinons ces différences de pourcentage spécifiques à chaque groupe d’âge, nous obtenons le graphique suivant (Fig. 3) :

Le graphique ci-dessus montre une augmentation remarquablement constante (145% à 174%) du nombre de décès dus à COVID-19 dans toutes les tranches d’âge, avec un pic entre 35 et 39 ans. Étant donné que le risque de COVID-19 augmente de manière exponentielle jusqu’à l’âge de 80 ans (voir figure 1), on peut s’attendre à ce que toute intervention réussie ait le plus grand impact dans les groupes d’âge les plus élevés. Les groupes d’âge et de risque les plus élevés ont également été vaccinés en priorité. En outre, un certain degré d’immunité naturelle a dû être acquis après 2020, ce qui aurait eu un effet bénéfique en 2021. Pourtant, la mortalité a augmenté de manière significative dans tous les groupes d’âge. Il y a également l’effet de report de la surmortalité de 2020 (déplacement de la mortalité), puisqu’on ne peut mourir qu’une fois, ce qui aurait dû avoir une influence positive.

Des données inquiétantes sur la surmortalité ont également été communiquées par l’Office des statistiques nationales du Royaume-Uni et par l’Organisation mondiale de la santé. Les données du rapport de l’OMS indiquent une augmentation encore plus alarmante de la surmortalité de 131 % entre 2020 et 2021 et une corrélation temporelle avec le déploiement des vaccins, que j’ai ajoutée au graphique ci-dessous :

Un nombre important d’organismes et de revues parmi les plus “respectables” font état d’augmentations constantes et significatives de la mortalité entre 2020 et 2021 et au-delà, en utilisant une série de méthodes et de paramètres différents. Ces rapports devraient constituer la base d’une enquête approfondie sur les causes profondes de ces augmentations inquiétantes de la mortalité. L’histoire officielle est que les nouvelles variantes apparues à partir de l’automne 2020 (à commencer par la variante Alpha ou Kent) ont entraîné des vagues de Covid plus importantes et plus meurtrières. Mais est-ce bien le cas ? Et pourquoi les mesures de confinement et les vaccins omniprésents en 2021 n’ont-ils pas permis de réduire le nombre de décès, comme on le prétendait ? Compte tenu de la gravité de la situation, l’enquête devrait être menée par des équipes indépendantes ayant un accès illimité aux sources de données pertinentes.

Cela arrivera-t-il un jour ? Un éléphant rose vient de passer devant ma fenêtre.

Il s’agissait d’un autre projet mondial “trop grand pour échouer”.

Lire aussi : Les essais du vaccin Covid ont exagéré la sécurité, selon une étude publiée dans le Journal of Evaluation in Clinical Practice

Source : The Daily Sceptic – Traduit par Anguille sous roche


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