Résistance à l’invasion migratoire en Grèce. Des citoyens armés patrouillent à la frontière


L’impuissance de l’Union européenne, sa soumission totale vis-à-vis de la Turquie, pousse les citoyens, et notamment les citoyens grecs, à devoir faire face en première ligne à l’invasion migratoire (La Turquie laisse passer des migrants venus d’Asie, du Moyen-Orient, du Maghreb et menace de faire déferler des millions de migrants chez nous).

Ils sont plusieurs milliers de Grecs à avoir rejoint la frontière récemment, armés, afin de défendre la Grèce, et à travers elle, toute l’Europe, et cela alors que la presse mainstream tente de nouveau l’entourloupe sur le mythe du réfugié syrien (des syriens ultra minoritaires parmi les migrants économiques qui se massent aux frontières de l’Europe et qui, à en entendre certains, exigeraient presque le droit de nous envahir…)

« Ici, il n’y a pas de loi. Nous ne laisserons personne passer en Grèce, pas un seul ! », dit Yorgos, qui est l’un de ceux qui gardent la frontière de la Grèce avec la Turquie, bien qu’il ne soit ni soldat ni garde-frontière. Comme des milliers d’autres ici. (…) En outre, environ 4.000 citoyens grecs se sont armés et vont chasser les migrants indique cet article d’un journal allemand.

Des patrouilles de civils se sont constituées en Thrace pour aider l’armée et la police à verrouiller la frontière Greco turques. (…) L’archevêque Iéronimos, le chef de l’Église orthodoxe grecque, est même venu rendre visite à ces hommes en patrouille pour les bénir… renforçant les sentiments nationalistes et anti-migrants. (…) «Le gouvernement a permis à la population de prendre les armes pour chasser les réfugiés à la frontière», explique ce sexagénaire aux allures de pâtre grec. «Quand le premier ministre est venu mardi dernier, il a rendu visite aux gens du delta de l’Evros. Cela revenait à les conforter dans leurs actions», analyse-t-il.

Des patrouilles qui font face à la violence de migrants qui prétendent pourtant à vivre chez nous…

Des Grecs mobilisés contre l’arrivée de migrants, qui ne peuvent pas non plus faire oublier que dans ce pays très divisé, une partie de la population manifeste actuellement également pour l’ouverture des frontières…

Pendant qu’une partie de la population défend nos frontières, nos dirigeants multiplient les effets d’annonce potentiellement délétères. Après avoir accepté que la Turquie vienne négocier à Bruxelles des mesures économiques en sa faveur…voici que l’UE voudrait ouvrir ses portes à 1500 migrants, des enfants (toujours mis en première ligne par la presse mainstream et les réseaux d’immigration qui savent faire pleurer le citoyen européen biberonné à la victimisation).

Ce reportage de Cnews est d’ailleurs un modèle de propaganda :

Concernant le fait que la Turquie incite à l’invasion, qu’elle aide militairement les migrants (et même les force parfois à se déplacer jusque-là frontière), silence total de l’UE, une organisation continentale qui semble manifestement aimer être détestée par une partie croissante de sa population….

Invitée de RTL, Marine Le Pen a elle demandé le renvoi de l’ambassadeur turc hors de France, tandis que Jordan Bardella se rend à la frontière de l’Europe.

À lire aussi cet excellent papier sur la naïveté (la complicité ?) de nos dirigeants face à Erdogan et à sa soif d’empire Ottoman…

Lire aussi : L’aide de l’armée turc aux réfugiés : Est-ce un acte de guerre contre l’Europe ?

Source : Breizh-info.com


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1 réponse

  1. fc dit :

    et les couilles molles qui officient à bruxelles(c.michel,von der leyen)ne lèveront meme pas le petit doigt pour aider la grèce!à croire qu’ils laisseraient tout ce beau monde entrer chez nous si les grecs ne s’y opposaient pas!

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