Sondage : Deux New-Yorkais sur cinq veulent quitter la ville


« Parce que ça devient un trou à rats. »

Une nouvelle enquête a révélé que deux New-Yorkais sur cinq veulent quitter la ville, en raison des inquiétudes liées à la baisse de l’économie et à la criminalité violente.

L’enquête, menée par le Manhattan Institute, a révélé que 22 % des personnes interrogées pensent que l’économie anémique est le principal problème qui affecte la ville, tandis que 21 % sont préoccupés par la criminalité et la sécurité publique.

Les chiffres montrent que les fusillades ont doublé et que les meurtres ont augmenté de 50 % par rapport à la même période l’année dernière. Tout cela s’est produit après que le maire Bill De Blasio a célébré la vidange des prisons de New York pour protéger les détenus contre le coronavirus.

« L’enquête a révélé que deux New-Yorkais sur cinq disent qu’ils quitteraient la ville s’ils avaient la possibilité de vivre où ils veulent », rapporte Fox 5.

On a également constaté une augmentation de 44 % des ventes de maisons dans les banlieues par rapport à la même période l’année dernière, les gens fuyant pour des maisons plus grandes dans des zones plus sûres.

Ce sentiment se reflète dans la demande que connaissent les entreprises de déménagement, qui est hors norme.

« De longues files d’attente ont été observées à l’extérieur d’un certain nombre de stations de métro du quartier samedi et dimanche, avec des véhicules en mouvement le long des rues résidentielles et des meubles mis au rebut empilés sur les trottoirs laissés par les habitants à la recherche de nouveaux pâturages » rapporte le Daily Mail.


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1 réponse

  1. sangmelima dit :

    Il n’y a pas que les new yorkais qui veulent quitter leur mégapoles… Paris est aussi devenue une capitale insupportable. Les délires boboïsants d’une certaine Hidalgo ont transformé la plus belle ville du monde en un énorme ramassis de bobos-écolos à vélo, trottinette, skate, gyroroue et autres machins dits “de mobilité”. Rues envahies de ces adulescents branchés qui n’adorent rien tant que d’aller siroter ensuite leur coca ou bière sur les terrasses “végétalisées” de ce qui restent comme commerces de PME.
    La folie covidienne – qui est la véritable maladie mentale qui s’est abattue sur le monde – aura indiscutablement permis aux mondialistes libertaires et apatrides de faire avancer leur projet de villes-monde remplies d’individus déracinés, stérilisés, trouillards et sans muscle. Un monde d’humains amoindris, fragiles et peureux dont le système a effectivement besoin pour instaurer son “nouveau monde de surveillance, contrôle et punition”… le monde décrit par M. Foucault avant que cet auteur de glisse vers sa fascination du “bad boy”…

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