La technologie des nanoparticules nous fait franchir une nouvelle étape vers un vaccin antigrippal universel
Les scientifiques ont pris une mesure audacieuse pour créer un vaccin antigrippal universel qui pourrait fonctionner contre n’importe quelle souche de grippe.
Les vaccins antigrippaux actuels préviennent des millions de maladies chaque année, mais ils ne sont pas parfaits. Le problème essentiel est qu’ils n’offrent une protection que contre certaines souches du virus.
Le vaccin doit être modifié chaque année dans le cadre d’une course à l’armement permanente, car le virus mute relativement rapidement et, malgré le travail effectué pour prévoir les souches prévalentes, il n’est pas certain que le vaccin antigrippal corresponde nécessairement à la principale souche en circulation. C’est pourquoi les scientifiques se concentrent sur la tâche délicate de mettre au point un vaccin antigrippal universel qui couvre toutes les souches pendant une longue période.
Selon la revue Cell Systems, une équipe du MIT, du Massachusetts General Hospital et de la faculté de médecine de Harvard a créé un vaccin qui utilise des nanoparticules enrobées de protéines grippales qui apprennent au système immunitaire du corps comment réagir à une invasion de grippe. La clé de leur travail consiste à identifier et à travailler en étroite collaboration avec un segment de protéine de la grippe qui mute rarement, mais qui n’est généralement pas ciblé par le système immunitaire.
En règle générale, les vaccins antigrippaux utilisent des virus grippaux inactivés qui contiennent la protéine hémagglutinine (HA), un antigène à la surface du virus qui déclenche la création par le système immunitaire d’anticorps qui ciblent spécifiquement le virus. Les anticorps, cependant, se lient presque toujours à la tête de la protéine HA, une partie de la protéine qui mute le plus rapidement. Cette nouvelle méthode se concentre plutôt sur la tige de la protéine HA, qui mute rarement.
Malheureusement, la tête de la protéine est beaucoup plus accessible et le système immunitaire n’a pas tendance à cibler la tige. L’équipe a donc cherché à trouver des moyens de recentrer l’attention du système immunitaire sur cette partie clé de la protéine.
« Nous ne comprenons pas encore l’ensemble du tableau, mais pour de nombreuses raisons, le système immunitaire n’est intrinsèquement pas doué pour voir les parties conservées de ces protéines, qui, si elles étaient efficacement ciblées, provoqueraient une réponse anticorps qui neutraliserait de multiples types de grippe », a expliqué Daniel Lingwood, auteur principal et professeur adjoint à la Harvard Medical School, dans une déclaration.
Forts de ces connaissances, ils développent une nanoparticule spéciale qui transporte les protéines souches HA à une densité plus faible dans une disposition espacée, ce qui signifie qu’elles sont plus faciles à lier pour les soldats du système immunitaire et, à leur tour, meilleures pour déclencher la production d’anticorps ciblant les tiges.
Une fois que cette nanoparticule a été utilisée dans un vaccin antigrippal pour des souris ayant des cellules immunitaires humaines, elle a déclenché la réponse exacte que les chercheurs souhaitaient : même si les souris ont été vaccinées avec des nanoparticules présentant des protéines souches HA d’une autre souche de grippe, elles ont quand même produit des anticorps largement neutralisants et semblaient être protégées contre le virus.
« La raison pour laquelle nous sommes enthousiasmés par ce travail est qu’il s’agit d’un petit pas vers le développement d’un vaccin antigrippal que l’on ne prend qu’une fois, ou plusieurs fois, et la réponse anticorps qui en résulte est susceptible de protéger contre les souches de grippe saisonnière et les souches pandémiques également », a déclaré Arup K Chakraborty du MIT.
Les chercheurs n’ont pas tardé à souligner qu’il s’agit d’un petit pas, mais significatif, vers un vaccin antigrippal universel. Bien que leurs recherches aient permis d’éliminer certains des problèmes posés par les vaccins actuels, la perspective d’un vaccin antigrippal universel viable, disponible dans les pharmacies locales, est encore lointaine.
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Source : IFLScience – Traduit par Anguille sous roche
Cette information est fausse, comme de très nombreuses “infaux” balancées quotidiennement dans notre société en plein délire collectif.
Un vaccin universel ne peut qu’être un mensonge – et plus il est gros, plus il passe – car chaque humain est un Être singulier. Chaque organisme réagit aux assauts extérieurs de façon totalement différente. Ce qui fonctionne sur untel ne fonctionne pas de la même façon sur d’autres.
Tout le mensonge d’un vaccin pour tous nous est asséné via le dingue Bill Gates dont l’enrichissement sans limite compte sur la rente d’une vaccination planétairement imposée. La France est en passe de basculer dans le délire total et lorsqu’on voit sa population muselée à 99 % on comprend fort bien que ce pays est fini.
Il faut aller respirer un air sain ailleurs… c’est encore faisable !
Je suis tout a fait d’accord. Cet article est un obscurentisme, c’est de lapire manipulation pour donner de la crédibilité au vaccin de Bill Gate. Gros mensonge, notre immunité est plus complexe et élaborée qu’une nanoparticule. Une nanoparticulene ne pourra jamais remplacer notre systeme immunitaire. Elle prend décision sur un algo d’Apprentissage, et nepeux déduire une décision si elle ne connait pas. ALors que notre systeme immunitaire, trouve la solution. Ce qui nous a permis a l’éspece humaine de survivre depuis des millénaire.
Arretez de prendre les gens pour des moutons.
Je fais de l’IA, et je sais que ces systemes sont limités, ils ne remplaceront jamais la décision de notre cerveau, ou de notre réponse immunitaie.
C’est assez de l’INTOX ..