Taco Bell ouvre à Times Square une boutique « uniquement numérique » qui sert de l’alcool
Les restaurants continuent de modifier leurs processus pour améliorer l’expérience client en cas de pandémie virale.
Sous couvert de distanciation sociale, Taco Bell a ouvert un fast-food « exclusivement numérique » à Times Square, où les clients peuvent uniquement commander des plats en ligne ou par le biais de kiosques automatisés.
Ces caractéristiques modernes de commande et d’enlèvement exclusivement numériques minimisent l’interaction entre le client et l’employé. La façade du restaurant, exclusivement numérique, permet un ramassage plus pratique.
« Construit en gardant à l’esprit l’énergie et le dynamisme de la ville, le tout nouveau restaurant adopte la technologie d’une toute nouvelle manière pour répondre aux exigences des New-Yorkais », a déclaré Taco Bell dans un communiqué de presse.
La conception simplifiée permettra aux employés de l’arrière-boutique du fast-food de s’occuper de l’exécution des commandes. La suppression des caisses enregistreuses dans la nouvelle cantine Taco Bell de Times Square nécessitera moins d’employés pour gérer les opérations.
Les restaurants sont plus petits qu’un Taco Bell traditionnel et offrent un design plus moderne et plus haut de gamme, ainsi que de l’alcool. À ce jour, 20 cantinas sont déjà ouvertes dans les cinq arrondissements de New York (bien que la seule cantina exclusivement numérique se trouve à Times Square).
D’autres chaînes de restaurants, comme Chipotle Mexican Grill et Starbucks, ont ouvert des services de commande et d’enlèvement exclusivement numériques. L’objectif n’est pas seulement de minimiser la main-d’œuvre humaine, mais aussi d’augmenter les commandes de ramassage forcées par la pandémie de virus. Le premier établissement numérique de Taco Bell a été ouvert à Londres en 2020.
Le concept automatisé pourrait être la norme dans tous les Taco Bells d’ici la fin de la décennie, car les restaurants pivotent vers l’automatisation et l’intelligence artificielle, qui déplaceront les travailleurs, entraînant une hausse du chômage technologique.
Yum Brands, qui possède KFC, Pizza Hut, Taco Bell, The Habit Burger Grill et WingStreet dans le monde entier, à l’exception de la Chine, va probablement étendre l’automatisation et l’intelligence artificielle à tous ses magasins au cours de cette décennie.
Ce qui est effrayant, c’est lorsque Yum commencera à utiliser des robots chefs pour automatiser l’arrière-plan du restaurant – éliminant essentiellement les préparateurs de repas humains. KFC teste déjà ce qu’il appelle le « restaurant du futur », où l’automatisation et l’intelligence artificielle dominent l’avant et l’arrière du restaurant.
Les grandes entreprises se préparent à remplacer les travailleurs peu qualifiés et mal payés par toutes sortes de nouvelles technologies d’ici à 2030, ce qui entraînera le déplacement de millions d’entre eux. Beaucoup de ces restaurants seront entièrement sans contact.
Tout cela suggère que le chômage technologique va monter en flèche dans les années à venir. Alors, que faire de tous ces travailleurs déplacés ? Rien de tel que de déclencher une guerre pour sortir l’économie de l’ornière dans laquelle elle se trouve actuellement et résoudre le problème du chômage.
- Lire aussi : Une enquête révèle que 91% des restaurants américains vont investir dans l’automatisation de la cuisine
- KFC dévoile un restaurant automatisé avec des robots et des casiers à nourriture
- USA : 85 % des restaurants indépendants pourraient faire faillite d’ici fin 2020
- Le COVID accélère la mise en place de « cuisines socialement distantes » et suscite un vif intérêt pour les robots pizzaïolo
- Un nouveau robot à hamburger amélioré grâce à un logiciel d’apprentissage automatique débarque sur le marché
- Le robot Smoothie de Walmart signale l’augmentation continue des travailleurs automatisés de la restauration rapide
L’Intelligence Artificielle n’existe pas… ce qui est existe depuis quelques années c’est l’imbécilité Artificielle ! Vendue comme un sucette à tous les gogos de la futurologie délirante, cette notion exclusivement techno machiniste fait partie du Grand Storytelling (en bon français : le Grand Conte à dormir debout) qui inonde le monde via les merdias.
Le relai quotidien de millions de non-événements qui ont permis d’inventer une sorte de délire collectif appelé “médias” est le moteur de cet autre grand lessivage collectif qui occupe l’internet de surface. Pendant que les milliards “d’internautes surfent” sur l’écume de ces millions de non-événements, dont le délire covidien du moment, les zélateurs de l’oligarchie poursuivent leurs grosses magouilles anti humaines via le Dark Web… comme le fit, entre autre, l’hystérique Hilary Clinton lorsqu’elle envisageait de devenir la “1ère présidente américaine”. Cette pauvre femme a du renoncer au profit de cet autre marionnette fabriquée pour les masses compulsives : le bidon Biden.
En France, nous avons une poignée de tordus dont Attali, Minc, les réseaux occultes de la finance et de la grosse banque avec depuis quelques temps le petit Zemmour qui préparent la prochaine orientation politique française.
La France étant déjà devenue depuis des décennies un pion de l’oligarchie anglo-yankee, il sera croustillant d’assister à la suite grandiose de la soumission totale de la masse française crétinisée lorsqu’une encore grosse partie ira veauter pour “la” future présidente en cours de formatage de gouvernance de la France SA.
Montrer un lieu sans aucun intérêt où l’on vend des boissons selon un processus totalement automatisé en dit long sur le lessivage anticipatoire. Habituer les masses à considérer “normal” tous les délires de la post modernité, autrement nommée “nouveau monde” ou, mieux… “great reset”. L’IA est promue en France par le totalement dingo Laurent Alexandre, urologue douteux aux yeux exorbité qui, comme le fit l’autre dingue Al Gore à propos du “changement climatique” (MDR) s’en vint évangéliser les nouvelles générations au stupide réflexe écolo-bobo-crétinos.
Ainsi, les merdias, dont Anguille sous Roche, relaient consciencieusement les échos quotidiens de ce que les masses considèrent comme les “nouvelles”.
C’est une façon de prendre conscience de la errance achevée des masses zombifiées qui ne pensent plus qu’en fonction de leur dose quotidienne d’infaux. Et comme tous les troupeaux que l’on traite comme tel, le troupeau humain est en période de shoot (piqure “covid” !) compulsif.
Un monde qui fait rêver, quoi…
[admin : vous commentez bien souvent de longs paragraphes, curieux de s’attarder autant sur un “merdia”. « Habituer les masses à considérer “normal” tous les délires de la post modernité », c’est pour prévenir de ce qui arrive, mais vous interprétez comme vous le voulez.]