Le nouveau président du Costa Rica libère le pays de l’obligation vaccinale « illégale » et des masques (vidéo)


“Les habitants du Costa Rica ne sont pas du bétail à battre avec un morceau de bois pour se faire vacciner.” – Le président Rodrigo Chaves

Lors d’une conférence de presse historique, le président nouvellement élu du Costa Rica, Rodrigo Chaves, a annoncé qu’il allait supprimer l’obligation de vaccination dans le pays. Mais malheureusement, la Commission Covid n’a pas accepté son décret en mai. Il a donc prouvé que la Commission avait agi illégalement, n’ayant aucune autorité pour imposer la vaccination obligatoire.

Il y a quelques jours encore, le Costa Rica était l’un des rares pays où le vaccin Covid était obligatoire. Depuis le 3 août, c’est terminé. La politique brutale de Covid a creusé un fossé dans la société costaricienne. D’innombrables personnes ont été licenciées ou suspendues pour avoir refusé de suivre le traitement expérimental à l’ARNm.

Les calomnies de la gauche

Le président nouvellement élu s’est adressé à la presse en compagnie du ministre de la santé Josely Chacón. Une campagne de diffamation “anti-vaccination” typiquement gauchiste avait été lancée contre eux par leurs adversaires politiques et la presse. Car ils sont depuis longtemps des opposants à la vaccination obligatoire. Cependant, la semaine dernière, Chaves a mis en échec les médias et ses opposants.

Lors de la conférence de presse, les dirigeants ont expliqué que la Commission nationale de vaccination et d’épidémiologie (CNVE) a violé la loi et que les membres de la commission ont occupé illégalement leurs postes, rendant ainsi toutes leurs déclarations illégales. Le président a ensuite insisté : “Le peuple costaricien n’est pas du bétail que l’on frappe avec un morceau de bois et que l’on force à se faire vacciner.”

Abolition des mandats de vaccination et de port de masques

“À partir d’aujourd’hui, les vaccinations ne sont plus obligatoires”, a déclaré Chaves lors de la conférence de presse, “toute action prise contre quelqu’un qui ne souhaite pas se faire vacciner est une action contraire à la loi”. Des applaudissements ont suivi. Il avait déjà voulu abolir la vaccination obligatoire auparavant, mais la Commission avait refusé. Ainsi, quatre jours seulement après son entrée en fonction, Chaves a signé deux décrets. L’un devait abolir l’obligation de se faire vacciner, l’autre devait mettre fin à l’obligation de porter un masque.

Il a également souligné lors de la conférence de presse que ni l’Organisation mondiale de la santé ni l’Organisation panaméricaine de la santé ne recommandent de rendre obligatoire la vaccination contre le Covid. Au contraire, les deux organisations sont favorables à ce que les citoyens reçoivent les injections sur une base volontaire. Néanmoins, le Costa Rica a agi de manière très différente.

M. Chaves est président du Costa Rica depuis le 8 mai. Trois mois après son entrée en fonction, son administration et ses partisans célèbrent son succès. Il a réaffirmé qu’il n’était “pas anti-vaccination”. Son gouvernement recommanderait même la vaccination ; toutefois, les citoyens pourraient choisir s’ils veulent recevoir les injections. Il a souligné que “Les habitants du Costa Rica ne sont pas du bétail à battre avec un morceau de bois pour se faire vacciner.”

Un président surprise

Chaves s’est présenté sous la bannière des sociaux-démocrates costariciens. Il est arrivé au second tour et a gagné avec 52 % des voix. Il a également été ministre des finances de 2019 à 2020. Puis, en août 2021, des allégations de harcèlement sexuel ont été formulées contre Chaves. Celles-ci devraient se situer entre 2008 et 2013 ; à cette époque, il était encore à la Banque mondiale. Il a catégoriquement nié ces allégations.

Regardez le reportage suivant, datant de mai 2022, sur l’inauguration présidentielle de Chaves. Le président nouvellement élu a parlé de l’élimination des vaccins obligatoires Covid et des masques de protection. Il a également déclaré une urgence nationale en matière de cybersécurité après les attaques contre plusieurs institutions gouvernementales en avril dernier. En outre, il y a quelques semaines, le bâtiment du ministère des Finances a été attaqué :

L’automne dernier, le Costa Rica a introduit une “règle 1G” qui n’autorise que les personnes vaccinées à entrer dans les restaurants et les hôtels du pays. La règle s’applique à tous les établissements non essentiels. Même les personnes guéries devaient être vaccinées au moins une fois. L’obligation de vaccination pour l’entrée a été levée le 1er avril 2022.

Près de 93 % des Costariciens ont reçu au moins une dose du “vaccin”, 87 % ont reçu une deuxième dose, 51 % une troisième et 10 % une quatrième, selon la Caja Costarricense de Seguro Social (CCSS), l’organisme de sécurité sociale du pays.

Lire aussi : La ville de New York déclare qu’elle va mettre fin à l’obligation de porter un masque à l’école et à l’obligation de vaccination à l’intérieur

Source : RAIR Foundation – Traduit par Anguille sous roche


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