Le prince Charles a assisté à un événement au cours duquel Ghislaine Maxwell a prostitué des filles à des pédophiles VIP
Le prince Charles a assisté à un événement auquel la patronne d’un réseau pédophile VIP, Ghislaine Maxwell, a participé avec trois filles mineures que les élites ont violé plus tard dans la nuit.
On peut voir la proxénète du trafic d’enfants sur une photo récemment publiée, buvant de l’alcool avec trois jeunes mineures, entourée de politiciens riches et puissants, de membres de la famille royale et de célébrités d’Hollywood.
L’image, obtenue par The Sun on Sunday, a été prise dans la boîte de nuit Red Cube le 22 novembre 2000, lors d’une after party pour la projection de Charlie’s Angels.
Le même soir, à côté, à l’Odeon Leicester Square, le prince Charles a assisté à un événement lié à la fête où il a été vu bras dessus bras dessous avec ses stars Drew Barrymore et Lucy Liu.
La photo soulève de nouvelles questions sur la façon dont Maxwell et le milliardaire pédophile Jeffrey Epstein sont devenus si proches des membres de la royauté britannique.
Ghislaine Maxwell a “piégé des élites VIP” avec des enfants pour les violer, selon des documents judiciaires
Dailymail.co.uk rapporte : Le courtier anonyme vu à côté de la maquerelle présumée et des trois jeunes filles a déclaré qu’il était “consterné” à l’idée qu’elles aient pu s’en prendre aux invités de la fête.
Il a déclaré : “Les trois filles se sont approchées de moi et d’un ami et étaient très coquettes. Elles étaient à la fin de l’adolescence ou au début de la vingtaine.”
“L’une d’elles, qui se trouve à ma droite sur la photo, semblait être la meneuse et nous demandait si nous voulions leur offrir des boissons ou aller quelque part.
La fille à ma gauche était plus calme et plus nerveuse.
Et la fille au fond était d’Europe de l’Est et également calme. Il semble que leurs questions visaient toutes à s’assurer de notre richesse.”
Le courtier a dit que personne n’était intéressé par les filles et après quelques minutes, Maxwell les a fait partir.
Une source a trouvé la photo en rangeant leurs affaires et se souvient que Maxwell s’était énervé contre les filles parce qu’elles passaient trop de temps avec certains invités avant de les faire partir.
Ils ont dit qu’ils avaient discuté à ce moment-là de la possibilité que les filles soient des escortes.
Le Prince de Galles avait fait un discours pour le Prince’s Trust ce soir-là, qui a bénéficié de la première.
Dix-huit jours plus tôt, Maxwell était l’invitée présumée du prince Andrew à une fête organisée à Los Angeles par la BAFTA pour le film Charlie’s Angels.
Et un mois plus tard, Epstein et Maxwell ont rejoint le duc d’York au domaine de Sandringham pour une chasse au faisan.
Le Prince’s Trust a déclaré qu’il n’avait pas organisé la soirée à laquelle Maxwell a participé et qu’il n’avait “aucune donnée” sur cet événement.
Cette déclaration intervient au milieu de rumeurs selon lesquelles Maxwell pourrait commencer à “citer des noms” si elle est reconnue coupable de trafic sexuel cette semaine.
Les plaidoiries finales du procès de Maxwell commencent demain, et le jury devrait se retirer le soir même.
Une source juridique liée à l’affaire a déclaré au Mail on Sunday que le tribunal de Manhattan se séparant pour Noël à la fin du mercredi, un verdict cette semaine est “hautement probable”, ajoutant : Le jury ne voudra pas que cela lui pèse à Noël, donc les avocats des deux parties s’attendent à un verdict cette semaine.
Maxwell nie les six chefs d’accusation liés à la préparation de jeunes filles mineures en vue de leur exploitation par le défunt pédophile Jeffrey Epstein.
Toutefois, la source a déclaré que si elle est condamnée – et risque jusqu’à 70 ans de prison – elle pourrait coopérer avec le gouvernement américain en échange d’une réduction de peine ou de meilleures conditions de détention.
“Cela pourrait être une mauvaise nouvelle pour le Prince Andrew et d’autres hommes très en vue qui ont fréquenté Ghislaine et Jeffrey Epstein”, a déclaré la source.
Il est possible qu’elle commence à coopérer et à dire ce qu’elle sait dans le but de réduire sa peine de prison. Nous savons que les procureurs recherchent d’autres co-conspirateurs en relation avec le réseau sexuel d’enfants de Jeffrey Epstein. Ghislaine possède sans doute des informations qui pourraient aider les procureurs dans d’autres affaires. Si elle décide de coopérer, son témoignage pourrait être dévastateur. Elle a été le bras droit d’Epstein pendant des années, imaginez ce qu’elle sait…”
Le nom du Prince Andrew a été mentionné à trois reprises au cours du procès, notamment par l’un des pilotes d’Epstein qui a confirmé avoir transporté le Prince sur le jet privé du financier disgracié, surnommé “le Lolita Express” en raison des jeunes filles qu’il transportait à travers le monde.
L’une d’entre elles, Virginia Roberts, affirme avoir été forcée à avoir des relations sexuelles avec le prince à trois reprises, notamment au domicile de Maxwell à Londres. Ce dernier nie avec véhémence toutes ces allégations et insiste sur le fait qu’il n’a jamais rencontré Mme Roberts.
Les anciens présidents américains Bill Clinton et Donald Trump ont également été cités au tribunal en tant qu’associés d’Epstein, tout comme l’acteur Kevin Spacey et un grand nombre de financiers de Wall Street, de politiciens et d’hommes d’affaires de premier plan.
Après qu’Epstein se soit suicidé en prison en 2019 alors qu’il était détenu pour des accusations de pédophilie, le procureur général des États-Unis de l’époque, William Barr, a promis de poursuivre ceux qui l’ont aidé.
“Il y aura des comptes à rendre”, a-t-il déclaré. “Cette affaire se poursuivra contre quiconque a été complice d’Epstein. Les victimes méritent justice et elles l’obtiendront.”
Les avocats de Maxwell affirment qu’elle est punie par procuration pour les crimes d’Epstein.
Vendredi, elle a refusé de témoigner pour sa défense, déclarant au juge : “Le gouvernement n’a pas prouvé son affaire au-delà de tout doute raisonnable, il n’y a donc aucune raison pour moi de témoigner.”
Maxwell a comparu devant le tribunal hier, les avocats présentant des arguments sur la façon dont la juge Alison Nathan devrait instruire le jury. Elle leur lira demain 80 pages d’instructions.
Les avocats de la défense se sont battus avec succès pour que le juge se réfère à la mondaine britannique en l’appelant “Maxwell” au lieu de “l’accusée” et les jurés ont été informés qu’ils peuvent évaluer si elle a “consciemment évité” d’avoir connaissance des abus d’Epstein sur des filles mineures.
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