Le membre du Congrès Thomas Massie critique la censure de Twitter après la suppression d’un tweet


Un autre tweet lié au COVID censuré.

L’obsession de Twitter à censurer les sujets du COVID qui sortent des limites strictes de ce qui est autorisé à être discuté sur le sujet le plus important de notre époque – ou qui semblent seulement en sortir – se poursuit sans relâche.

Pour atteindre cet objectif orwellien consistant à forger un sens de la réalité à l’image de sa propre politique, Twitter a eu recours à diverses méthodes : suspensions, interdictions, interdictions fictives et étiquettes (trompeuses).

Dans l’exemple des utilisateurs qui tentent de partager ou de citer des articles faisant référence à une étude israélienne selon laquelle l’immunité naturelle obtenue en surmontant le risque initial du coronavirus serait plus efficace que celle offerte par les vaccins, nous voyons une variété de ces outils à l’œuvre.

La censure de Twitter semble au moins “égalitaire” car elle touche aussi bien les utilisateurs “ordinaires” que les élus. Le 28 août, Thomas Massie, membre du Congrès américain, a fait savoir sur Twitter que son message, intitulé “Immunité naturelle >> immunité vaccinale ; Alors pourquoi forcer ou contraindre ceux qui ont une immunité naturelle due à une infection antérieure à prendre le vaccin ?” avait reçu l’étiquette “ce tweet est trompeur”.

Il a ajouté que ses électeurs du Kentucky devraient savoir que les commentaires qu’ils ont adressés à leur représentant élu ont pu lui être cachés par Twitter.

À peu près au même moment, le marchand d’art new-yorkais Eli Klein a décidé de partager un lien vers un article du magazine Science dont l’essentiel, comme le dit Klein dans son commentaire, est que le risque d’hospitalisation est “huit fois plus élevé chez les personnes ayant seulement une immunité induite par le vaccin, par rapport aux personnes ayant une immunité naturelle pour avoir eu le COVID, avec le variant Delta prédominant”.

Cela a également valu au tweet d’être qualifié de “trompeur” et de renvoyer les utilisateurs de Twitter à la question de savoir “pourquoi les autorités sanitaires recommandent un vaccin pour la plupart des gens”.

Cela semble faire partie de la stratégie de Twitter, qui se rend compte qu’il n’a aucun moyen de supprimer du contenu ou d’interdire des utilisateurs, mais qui cherche quand même à les discréditer avec des étiquettes, apparemment simplement parce que le géant social n’aime pas ce qu’ils disent.

Le Daily Mail a récemment écrit, en citant l’étude israélienne, que les personnes qui ont reçu le COVID et se sont rétablies ont 13 fois moins de chances d’être infectées à nouveau que celles qui ont été vaccinées, et 27 fois moins de chances de présenter des symptômes si elles sont réinfectées.

Cette recherche s’est concentrée sur le vaccin fabriqué par le géant pharmaceutique Pfizer.

L’étude indique toujours que les personnes non vaccinées (sans immunité naturelle) sont plus susceptibles de contracter le COVID et ne décourage pas la vaccination.

Lire aussi : Twitter a bloqué un journaliste qui a fourni une déclaration vérifiée par les CDC sur les vaccins

Source : Reclaim The Net – Traduit par Anguille sous roche


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