Une Canadienne s’est vu refuser l’entrée dans son propre pays malgré une forte immunité naturelle au COVID et des tests négatifs


“Soyons clairs : le gouvernement canadien, en se comportant de la sorte, criminalise systématiquement les personnes possédant des anticorps Covid qui ne sont pas issus d’un vaccin expérimental fabriqué.”

Une écrivaine canadienne qui est rentrée d’Europe pour rendre visite à sa mère s’est vu refuser l’entrée sur le territoire et a été renvoyée parce qu’elle n’était pas vaccinée, même si elle a présenté des preuves détaillées qu’elle possède une forte immunité naturelle contre le COVID après s’être remise du virus.

Rachel Marsden a raconté son expérience dans un article d’opinion la semaine dernière : “Le Canada a essayé de me forcer à entrer dans un centre de détention Covid en me menaçant d’amendes et d’actions policières car ils ne reconnaissent pas mon immunité naturelle. Je n’ai pas eu d’autre choix que de prendre immédiatement l’avion pour rentrer en Europe.”

Marsden note que “j’ai commis la violation apparente d’essayer de rentrer dans mon propre pays avec la preuve d’anticorps Covid-19 acquis naturellement et fabriqués par mon propre système immunitaire après ma guérison, plutôt que ceux générés par le vaccin Covid-19 fabriqué par l’homme, sur lequel il reste encore beaucoup à apprendre”.

L’auteure raconte : “J’ai été traitée pire qu’un criminelle. Je suis arrivée à l’aéroport avec un test PCR négatif (datant de moins de 48 heures), deux tests d’anticorps Covid positifs datant de mars et juillet, prouvant que j’avais toujours des anticorps Covid significatifs après la guérison, et un ‘certificat d’immunité Covid’ écrit et signé par mon médecin français pour confirmer ce fait.”

Selon son récit, la sécurité frontalière canadienne a refusé d’accepter autre chose que la preuve d’une vaccination complète pour entrer dans le pays sans mise en quarantaine pendant plus de deux semaines.

“L’agent frontalier canadien a refusé d’accepter les résultats du test de laboratoire des anticorps comme preuve que j’avais récupéré et que j’étais immunisée contre le Covid”, écrit Marsden, ajoutant qu’elle a été menacée d’une amende de 6 000 dollars si elle ne coopérait pas et tentait de quitter l’aéroport.

“Soyons clairs : le gouvernement canadien, en se comportant de la sorte, criminalise systématiquement les personnes possédant des anticorps Covid qui ne proviennent pas d’un vaccin expérimental fabriqué”, insiste Marsden.

Mme Marsden affirme que son médecin lui a déconseillé de se faire vacciner parce qu’elle a “un niveau élevé d’anticorps testés en laboratoire dont les niveaux n’ont pas encore diminué, même plusieurs mois après la maladie”.

De nouvelles recherches menées par l’Institut de santé mondiale de Barcelone (ISGlobal) en Espagne et publiées ce week-end dans la revue Nature Communications révèlent que les anticorps IgG des travailleurs de la santé contre le SRAS-CoV-2 sont restés constants, voire ont augmenté, sept mois après l’infection.

Carlota Dobano, chercheuse à ISGlobal, qui a dirigé l’étude, a déclaré : “Il s’agit de la première étude qui évalue les anticorps d’un panel aussi large d’anticorps du SRAS-CoV-2 sur une période de 7 mois.”

Gemma Moncunill, co-auteur principal de l’étude, a déclaré : “De manière plutôt surprenante, nous avons même constaté une augmentation des anticorps IgG anti-spike chez 75 % des participants à partir du cinquième mois, sans aucune preuve de réexposition au virus.”

La recherche indique clairement que l’immunité naturelle contre le virus offre une forte protection permanente, même contre les nouveaux variants. Elle a même découvert que les anticorps contre les coronavirus humains (HCoV) peuvent également protéger contre l’infection par le COVID-19.

Mais bien sûr, car c’est ainsi que la race humaine a évolué et survécu depuis toujours !

Entre-temps, on sait relativement peu de choses sur les vaccins, et il commence à apparaître que les personnes ayant reçu une double injection peuvent encore contracter et transmettre des variants du virus. Les CDC l’admettent même.

Mme Marsden note également que le pays qu’elle essayait de quitter, la France, exige désormais qu’elle “succombe à des tests d’antigènes par écouvillonnage nasal toutes les 48 heures si je souhaite continuer à accéder aux lieux de la vie quotidienne comme les transports en commun, les salles de sport, les restaurants, certains centres commerciaux et les bars”.

Faisant référence à son exclusion du Canada, Marsden conclut que “La prochaine étape pour moi et pour les autres personnes soumises à cette discrimination devrait être une contestation judiciaire des actions du gouvernement fédéral. Les installations d’internement ordonnées par le gouvernement pour les survivants du Covid immunisé sous la menace d’une incarcération n’ont pas leur place dans une démocratie.”


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