Une policière d’Ottawa est accusée après avoir enquêté sur des décès inexpliqués d’enfants qui pourraient être liés aux vaccins Covid 19


L’agent de police Helen Grus, du Service de police d’Ottawa, fait l’objet d’une enquête après avoir prétendument commis une conduite déshonorante en acceptant un projet d’enquête privée visant à déterminer le statut vaccinal de parents dont les enfants étaient décédés.

L’agent de police d’Ottawa fait face à des accusations de mauvaise conduite pour avoir cherché des liens entre la mort d’enfants et les vaccinations Covid-19. Il est également allégué qu’elle s’est immiscée dans les enquêtes visant à établir ces liens.

L’agent de police Helen Grus, du Service de police d’Ottawa, fait l’objet d’une enquête après avoir prétendument commis une conduite discréditable en se chargeant d’un projet d’enquête privée visant à trouver le statut vaccinal de parents dont les enfants étaient morts.

Selon le Ottawa Citizen : “Entre juin 2020 et janvier 2022, Grus aurait accédé à neuf cas de décès d’enfants ou de nourrissons dans lesquels elle n’avait aucun rôle d’enquête. Le 30 janvier 2022, Grus aurait également interféré directement dans une enquête sur le décès d’un nourrisson en contactant le père d’un bébé décédé pour s’enquérir du statut de la mère en matière de vaccination COVID-19, à l’insu de l’enquêteur principal.”

Les accusations ont été portées contre Grus lors d’une audience disciplinaire lundi. Grus n’a pas encore présenté de plaidoyer. Elle est détective au sein de l’unité des agressions sexuelles et de la maltraitance des enfants (SACA), mais elle est suspendue depuis février 2022.

Police on Guard, un groupe de policiers pro-constitution canadienne, a publié une déclaration défendant Grus, affirmant : “Dans le cadre de l’unité SACA, leur mandat est d’enquêter sur tous les décès soudains et inattendus d’enfants de moins de cinq ans. Ces enquêtes sont cruciales et mandatées par la loi.”

“En tant qu’officiers de police, il nous incombe d’enquêter sur toutes les causes potentielles de décès. Compte tenu de la récente avalanche de preuves médicales entourant le vaccin Covid 19, en particulier les documents de Pfizer qui montrent que 28 des 29 femmes enceintes qui ont signalé des effets indésirables après le vaccin ont perdu leur bébé, on pourrait penser que le fait de poser ces questions pour exclure la cause potentielle du décès serait considéré comme une bonne pratique et un devoir de fonction. Après tout, n’est-ce pas le but de l’enquête ?

S’il y a une augmentation du nombre de décès soudains chez les enfants par rapport aux années précédentes, ne serait-il pas utile d’enquêter pour en trouver la cause ?

Chaque agent de police assermenté a le devoir d’enquêter. Un agent de police affecté à l’unité spécialisée SACA, avec un dossier exemplaire, qui enquête sur une cause potentielle de décès et qui est réduit au silence et sanctionné pour son enquête approfondie, devrait être un signal d’alarme majeur pour tous les Canadiens.

Le Service de police d’Ottawa et tous les autres services de police du pays qui taisent ces enquêtes devraient être tenus responsables de la négligence de leur devoir.

Vous avez prêté le serment de servir et de protéger. Suivre l’édit du gouvernement, ignorer les preuves potentielles et punir un agent de police pour avoir fait son travail est criminel !” concluent-ils.

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Source : The Post Millennial – Traduit par Anguille sous roche


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