Un cannibale condamné à perpétuité pour avoir mangé son rendez-vous sur Grindr
Mark Latunski, 53 ans, a plaidé coupable en septembre pour la boucherie de Kevin Bacon, un coiffeur de 25 ans qu’il a rencontré sur l’application de rencontre gay Grindr.
Un cannibale du Michigan qui a assassiné et démembré un homme rencontré sur une application de rencontre a été condamné à la prison à vie, selon un rapport du New York Post.
Mark Latunski, 53 ans, a plaidé coupable en septembre pour la boucherie de Kevin Bacon, un coiffeur de 25 ans qu’il a rencontré sur l’application de rencontre gay Grindr.
Le juge Matthew Stewart, du comté de Shiawassee, a condamné Latunski à la prison à vie sans possibilité de libération conditionnelle, après avoir déterminé en octobre que l’horrible massacre était un meurtre prémédité au premier degré.
Une peine supplémentaire de 11 mois sera purgée simultanément pour l’exhumation et la mutilation d’un cadavre.
Le corps de Bacon a été retrouvé suspendu à l’envers au plafond de la cave de Latunki, les chevilles attachées aux chevrons, la gorge tranchée et plusieurs parties du corps enlevées.
Latunki a avoué avoir poignardé Bacon dans le dos, après quoi il a retiré et consommé des parties de son corps. Il a dit aux enquêteurs qu’il avait coupé et mangé ses testicules, et qu’il avait envisagé d’acheter un déshydrateur pour pouvoir faire du jerky avec ses muscles.
Les deux hommes se sont connectés sur Grindr et ont convenu de se rencontrer la veille de Noël 2019. Latunki a ensuite attiré Bacon à son domicile, où le bain de sang a commencé.
La famille a signalé la disparition de Bacon après qu’il ne se soit pas présenté au petit-déjeuner le matin de Noël. Les enquêteurs ont pu suivre sa dernière localisation jusqu’au domicile de Latunski après avoir trouvé sa voiture garée dans le parking d’un magasin à un dollar.
Latunski avait initialement plaidé non coupable avec une défense d’aliénation mentale, mais moins d’un mois avant le début de son procès, et contre la recommandation de son avocat, il a changé son plaidoyer.
Le juge a eu le pouvoir de déterminer s’il devait prononcer une condamnation pour meurtre au premier ou au second degré, et a finalement décidé que l’abattage prémédité justifiait une accusation de meurtre au premier degré.
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Source : The Post Millennial – Traduit par Anguille sous roche
