Rapport : L’administration Biden a mis fin à l’enquête sur la théorie de la fuite du laboratoire de Wuhan


L’enquête a été lancée par le président Trump pour déterminer l’origine de l’épidémie.

Alors que les preuves s’accumulent pour montrer qu’une fuite du laboratoire de Wuhan est à l’origine de la pandémie de coronavirus, et qu’elle est de plus en plus acceptée comme une probabilité crédible, il est apparu que l’administration de Joe Biden a ANNULÉ une enquête sur cette théorie qui avait été lancée sous le président Trump.

L’enquête avait été ouverte par le département d’État sous la direction de l’ancien secrétaire d’État Mike Pompeo, qui a longtemps soutenu que la fuite du laboratoire devait être examinée plus en profondeur.

CNN (entre tous) rapporte que l’objectif principal de l’enquête était d’examiner le programme d’armes biologiques de la Chine et de déterminer s’il avait un « rôle plus important dans l’origine de la pandémie à Wuhan ».

Le rapport indique que « les responsables impliqués dans cette initiative se sont appuyés sur des recherches scientifiques ainsi que sur des informations publiques et classifiées pour approfondir la théorie de la fuite en laboratoire, notamment en examinant tout lien possible entre le virus et le programme d’armes biologiques du gouvernement chinois ».

« Le gouvernement américain a déclaré qu’il pensait que la Chine avait maintenu un programme d’armes biologiques offensives, même après avoir adhéré à la Convention sur les armes biologiques et à toxines en 1984. La Chine réfute cette affirmation. »

Cependant, avant qu’elle ne démarre vraiment, l’enquête a été interrompue par des responsables de Biden, qui ont affirmé que la qualité des preuves suscitait trop de préoccupations.

Comme nous l’avons rapporté mardi, l’attachée de presse de la Maison Blanche, Jen Psaki, a déclaré que les preuves indiquant qu’une fuite dans un laboratoire chinois était à l’origine de la pandémie de coronavirus ne constituaient pas « suffisamment de données et d’informations pour tirer des conclusions hâtives » et a indiqué que les États-Unis ne mèneraient pas leur propre enquête.

Au lieu de cela, l’administration Biden s’est rangée du côté de l’Organisation mondiale de la santé, bien que l’organisme de santé se soit précédemment plaint de ne pas avoir été « invité » par la Chine à enquêter sur l’épidémie et qu’il ait été continuellement critiqué pour avoir soutenu les arguments du Parti communiste.

En outre, après avoir passé des mois à essayer de négocier une visite, les responsables de l’OMS ont largement absous la Chine de toute responsabilité dans l’épidémie après avoir visité le laboratoire du virus à Wuhan pendant seulement trois heures.

M. Pompeo lui-même a exprimé cette semaine son dégoût d’avoir vu des scientifiques du gouvernement, au cours de l’année écoulée, écarter la possibilité que le COVID-19 provienne d’un laboratoire « alors qu’ils avaient sûrement vu les mêmes informations que moi ».

« Cela inclut certainement aussi le Dr Fauci », a noté M. Pompeo :

Le président Trump a également publié une déclaration mardi, notant qu’il avait « raison » concernant la théorie de la fuite du laboratoire :

Cette semaine, un rapport inédit des services de renseignement américains a révélé qu’au moins trois chercheurs travaillant à l’Institut de virologie de Wuhan, où des expériences sur le coronavirus étaient menées, ont été hospitalisés à la mi-novembre 2019 avec des symptômes correspondant à ceux du COVID.

Cette information s’ajoute aux montagnes de preuves indiquant la fuite du laboratoire qui s’accumulent depuis plus d’un an, des scientifiques éminents et des personnalités du renseignement apportant leur poids à cette notion.

De nombreuses entités officielles étant désormais contraintes de faire marche arrière et de reconnaître que l’origine de la fuite de laboratoire est une possibilité réelle, les médias et les vérificateurs de faits se bousculent pour revenir sur leurs précédentes déclarations sur la question.


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