« Je refuse de travailler pour ce conseil municipal socialiste » : Les flics de Seattle en ont ras-le-bol
Les officiers de police de Seattle qui quittent le département après un été de chaos s’en prennent aux dirigeants de la ville dans leurs entretiens de départ, selon KOMO news.
« Je refuse de travailler pour ce conseil municipal socialiste et son programme politique. Ce programme sacrifie la santé et le bien-être des officiers et finira par détruire le tissu de cette ville autrefois belle », a déclaré un sergent de patrouille à la retraite, qui était dans les forces armées depuis plus de 20 ans.
Un autre officier dont le travail est « foutu en l’air » a déclaré : « Le conseil veut nous défrayer et gagne du terrain en le faisant. Les émeutiers ne sont pas accusés même lorsqu’ils agressent des officiers. »
Un autre officier de patrouille du commissariat Est qui démissionnait après 6 à 10 ans de service a offert cette explication pour avoir quitté le département : « Environnement de travail actuel hostile. Dans un commissariat en proie à des troubles civils, un petit groupe commet constamment de multiples délits et tente d’assassiner des agents de la paix. »
Lorsqu’on lui a demandé : « Qu’est-ce qui vous a le moins plu dans votre travail au SPD ? »
L’officier a répondu : « J’ai apprécié presque tous les aspects du travail avec le SPD de Seattle lui-même. La seule chose que j’ai le moins appréciée est la gestion des trois derniers mois d’émeutes. » – KOMO news
« C’est ridicule », a déclaré le directeur de l’application de la loi de Crimestoppers, Jim Fuda, qui travaille avec SPD. « Juste quand vous pensez que ça ne peut pas être plus inepte, c’est le cas. »
Quand on a demandé aux officiers sortants « Aimeriez-vous travailler à nouveau pour le SPD à l’avenir ? », certains ont répondu par l’affirmative, mais seulement si les choses changent « radicalement ».
Un autre officier a répondu : « J’en doute fortement. Vous pourriez me payer deux fois plus que ce que vous me payez maintenant et je ne travaillerais pas pour Seattle dans le cadre de ce chaos politique actuel, des collaborations marxistes et du manque de leadership du gouvernement et de la police. »
« C’est une plaisanterie absolue et une parodie pour le reste des citoyens ici dans cette ville, cette ville autrefois magnifique », selon Fuda. « Notre service de police est là pour nous protéger tous et, à cause des réductions budgétaires et des départs à la retraite, qui va protéger notre sécurité publique ? »
En juillet, nous avons fait état d’un exode massif de policiers de la police de Seattle.
Rich O’Neill, vice-président de la guilde des officiers de police de Seattle, a déclaré à Q13 FOX que les fonctionnaires locaux « permettent à certains crimes de se poursuivre sans avoir à rendre de comptes ».
« Les abeilles ouvrières dans la rue, elles ne se sentent pas appréciées. Je n’ai jamais rien vu de tel dans ma vie », a déclaré une autre source au sein de la police de Seattle à Q13 Fox.
Et en août, la cheffe de la police de Seattle, Carmen Best, a annoncé sa démission après que le conseil municipal l’ait empêchée de répondre aux émeutiers en interdisant les gaz lacrymogènes, les gaz poivrés et les flash bangs. Elle a également été exclue des réunions concernant les réductions budgétaires.
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