John Kass défie la Cancel Culture au Chicago Tribune : « Je ne m’excuserai pas d’avoir écrit sur Soros »
Le chroniqueur John Kass a défié la « Cancel Culture » au Chicago Tribune après que des membres du syndicat des journalistes l’aient attaqué pour avoir critiqué le milliardaire de gauche George Soros et son soutien aux procureurs « progressistes » dans tout le pays.
La semaine dernière, Kass a écrit sur « un sentiment écrasant d’anarchie » dans les villes dirigées par les démocrates, et a noté : « Ces villes démocrates sont aussi celles où le milliardaire de gauche George Soros a dépensé des millions de dollars pour aider à élire des guerriers libéraux de la justice sociale comme procureurs. Il refait le système judiciaire dans l’Amérique urbaine, en passant sous le radar. »
Cette déclaration est tout à fait exacte.
En 2018, Breitbart News a rapporté que Soros était impliqué dans le financement des campagnes des procureurs « progressistes » à travers le pays. Les grands médias l’ont également rapporté : le Los Angeles Times a noté que Soros « dépensait beaucoup pour aider à décider qui sera votre prochain procureur », et qu’une partie du financement était « cachée ».
Le succès le plus célèbre de Soros a été celui de Kim Foxx, procureur controversé de la région de Chicago qui a tristement abandonné les poursuites contre l’acteur Jussie Smollett, qui a simulé un crime de haine qu’il a imputé aux partisans de Trump portant une casquette MAGA en 2019.
La Chicago Tribune Guild, le syndicat qui représente les journalistes du journal, a écrit une lettre au journal accusant Kass de promouvoir « l’odieuse théorie de conspiration antisémite selon laquelle le milliardaire George Soros est un marionnettiste qui contrôle les grandes villes américaines » et lui a demandé, ainsi qu’au journal, de s’excuser.
Le journal a rétrogradé Kass de son poste de « chroniqueur principal » en page 2, et a tenté de justifier ses actions en disant qu’il faisait partie d’une réorganisation globale.
En réponse, Kass a écrit une chronique cette semaine dans laquelle il refuse de s’excuser et défie la « Cancel Culture » de la gauche :
L’influence de Soros sur les races est indéniable et a été largement rapportée. Mais dans cette chronique, je n’ai pas mentionné l’ethnicité ou la religion de Soros.
On pourrait penser qu’avant d’accuser sauvagement quelqu’un de fomenter des théories de conspiration sectaire, les journalistes du conseil d’administration du syndicat prendraient au moins le temps de chercher sur Google les mots « Soros », « financement » et « procureurs locaux ».
…
Je ne m’excuserai pas d’avoir écrit sur Soros.
Je ne m’inclinerai pas devant ceux qui m’ont diffamé à tort.
Je continuerai à écrire ma chronique.
Lisez sa chronique complète ici.
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Source : Breitbart – Traduit par Anguille sous roche
D’accord avec lui; Il est temps de relever la tête !
Et de ne plus jamais s’incliner devant les oppresseurs.
Les autorités de justice aussi, comme les procureurs doivent être jugés et démis de leurs fonctions s’ils ont reçus dse avantages financiers pur cela. Car cela s’appelle de la corruption.